Citations de Yuka Nagate (57)
On est tous honnêtes face au plaisir...
on se bouscule au portillon alors qu'hier encore.,le quartier était désert....
à croire que la mort...
offre un meilleure spectacle que les femmes ou les arts..
Je reconnais que tu étais un guerrier doué, mais maintenant, tu n'es qu'un vulgaire criminel. Un shinobi qui a perdu son âme n'est plus un shinobi !
Les femmes ne sont capables de mourir que pour ceux qu'elles aiment Mais pas pour des concepts insaisissables comme les dieux ! Nous sommes faites ainsi...
Le regard de Danzô quand il a entendu la voix de sa fille était celui d'un père l'espace d'un instant.
Même les gibiers de potence ont une once d'humanité, on dirait...
Un acte honnête peut anéantir quelqu'un sans faire couler une goutte de sang...
Je ne voulais me révéler à personne, mais voilà celle que je suis au fond de moi...
Ce n'est pas pour rien qu'on dit des proxénètes qu'ils ont oublié les huit vertus. Impossible d'être un marchand de chair fraiche si on a peur de l'enfer...
Je dois tuer cette part de moi ici et maintenant ! Pour qu'enfin, je sois en mesure d'éliminer Kazuma dans mon rôle de chasseresse...
Mais celui qui se tient devant vous n'est plus Fabian le chrétien, mais Raîzo le chasseur...
Leurs failles les font sombrer du côté des proies. Cependant, les dévoyés sont plus humains que les chasseurs comme nous.
Vous espériez trouver le paradis mais je crois que vous vous êtes égarés dans un terrible enfer...
C'était une autre Ochô qui s'exprimait. Pas la chasseresse mais l'être humain...
La main d'Ochô s'était figée sur son couteau. L'image que le miroir lui renvoyait dans la pénombre était celle d'un homme pitoyable et paralysé par la terreur assailli par une furie sanguinaire...
Parfois il est nécessaire de fermer les yeux pour continuer à vivre.
Tu sais, même un cafard ne naît pas sans raison sur cette terre. Une vie inutile, ça n'existe pas.
L'espace d'un instant, j'ai cru entendre le docteur Takuma me sermonner. Il faut dire que je le mérite. La vie est une chose précieuse qu'il faut chérir, je le sais bien... Et pourtant, lorsque je me suis occupée de cet homme, je n'ai pas songé une seconde à le remercier pour cette vie qu'il nous offrait. Je n'avais qu'une idée en tête : lui faire payer ce qu'il avait fait.
Quelle bande d'affreux... Ils s'inquiètent plus de leur compte en banque que de l'état de santé de leur proche... Le monde est peut-être ainsi fait, après tout...
Oui, j'ai dit réaliste, mais pas réel, bien évidemment. Je n'ai nul besoin de la réalité. Et cela, parce que tout au long de ma vie, je n'ai cessé d'être trahi par celle-ci. Ce dont j'ai vraiment besoin, c'est un réalisme qui dépasse le réel.
Lorsqu'une chose est laide à l'intérieur, cela déteint toujours sur l'extérieur.