Éric Moreau

Un polar de 600 pages un brin longuet malgré les multiples rebondissements présents.



Un thriller psychologique bien construit où l'adrénaline monte crescendo au fil des pages avec une intrigue à tiroirs qui mixe plusieurs enquêtes distinctes et un dénouement surprenant et inattendu.



Ce n'est pas un coup de cœur mais il se lit très bien. Agréable moment lecture en perspective.

Encore un bon petit polar victorien, avec des gentils de la bonne société, un pasteur qui milite pour la bienséance et se bat pour la fermeture des jardins des plaisirs. Un bien grand mot pour un endroit où l'on trouve des spectacles, des cabarets et de quoi festoyer à l'abri des oreilles chastes.

Et bien sûr l'éternel méchant, comme il se doit.

Un bon moment de lecture.

Un tueur en série s'attaque à des écrivains de polar célèbres et leurs meurtres sont des copies de ceux que l'on peut lire dans leurs romans ...

Pour cette enquête, Fiona Cameron, psychologue en affaires criminelles et spécialiste en profilage géographique, est au cœur de l'intrigue, non pas comme consultante mais comme personne impliquée : en effet, son compagnon, Kit Martin, est lui aussi écrivain.

Ce dernier connait bien les victimes et Fiona croit que lui aussi pourrait être assassiné.

Le fait que Fiona travaille sur deux affaires en même temps (une à Tolède en Espagne et une autre, plus ancienne, dont elle pense que le suspect est accusé à tort), et que son passé est très présent dans ces circonstances angoissantes (elle a en effet perdu sa sœur Lesley, violée et assassinée, dont le meurtrier n'a jamais été retrouvé) accapare beaucoup d'espace dans le roman et "noie" un peu l'intrigue du tueur en série dans des méandres qui rendent la lecture fastidieuse.

Une lecture sympathique mais sans plus.

Sur le point de se faire écraser par train, elle échappe miraculeusement à la mort. Mais, celle qui est devenue amnésique et qui se fait appelée Sunny n'en a pas fini avec les dangers : on veut la tuer. Elle doit fuir sans savoir pourquoi. Heureusement, elle rencontre un jeune homme, Ben.



Le résumé laisse supposer une intrigue mystérieuse, une course poursuite passionnante : et bien, pas vraiment. Il y a du mystère, certes ; mais, l'ennui nous gagne rapidement face à une romance sans intérêt, des actions pas très passionnantes, une héroïne pas très attachante.

Qui plus est, l'auteur a choisi une narration qui se veut originale puisqu'il utilise la seconde personne du singulier. Franchement, c'est un des éléments qui m'a le plus rebuté.

Un récit fade, lent pas du tout à la hauteur de mes attentes nourries par une couverture plutôt attrayante !

Comme tous les livres de Val Mc Dermid, j'ai adoré. Ce roman ne fait pas partie d'une série mais le personnage de Fiona Cameron est attachant. Cette docteur en psychologie vient en aide à la police en tant que profiler, jusqu'au jour où elle se retrouve directement concernée par une série de meurtres visant des écrivains. Elle est elle-même en couple avec l'un des écrivains menacés.

Tu te réveilles dans le métro... ou plutôt sous le métro ! Aucun souvenir, à part le sentiment de devoir fuir, vite, toujours ! Tu découvres que tu es une fille, blessée, tatouée, sale... Tu fouilles ton sac, rien n'indique qui tu es... Mais on en veut à ta vie, on te suit, à qui faire confiance ????

Un thriller haletant, des rebondissements, bien surprise et tenue en haleine dans ce roman façon "la mémoire dans la peau"... sans la mémoire ! Très bonne surprise, sans réponse en fin de roman.. J'attaque la suite !

Publié en 2 000 sous le titre  Killing the shadows, Le tueur des ombres ne s'inscrit pas dans les séries consacrées soit à Tony Hill et Carol Jordan, soit à Kate Branningan. Il peut donc se lire sans connaissances préalables sur les héros récurrents de Val McDermid.

 



Fiona Cameron est docteur en psychologie, et à la demande, auxiliaire de police, pour laquelle elle établit les profils psychologiques et géographiques de criminels.  Elle est mariée à Kit Martin, un auteur de romans policiers connu. Tous deux s'aiment mais veillent à respecter chez l'autre cette part d'indépendance qui permet à chacun de s'épanouir dans ses activités personnelles. Ils ne se dérangent pas inutilement, communiquent par mails pluri-quotidiens. Steve Preston, flic, est leur ami commun, un peu plus ami avec Fiona, mais on ne va pas chipoter, le passé, c'est le passé. Steve vient d'essuyer un violent revers dans sa carrière, lorsque Francis Blake a été remis en liberté, pourtant soupçonné de meurtre, grâce ou à cause d'un vice de forme procédural.





Lorsqu'il s'avère qu'un tueur en série s'attaque à des auteurs réputés de polars, copiant pour ses crimes des scènes extraites de leurs meilleurs titres, prestigieusement récompensés ou adaptés au cinéma, l'inquiétude monte lentement mais sûrement, surtout lorsque l'étau se resserre autour de Kit. Comment va réagir Fiona ? A quoi une femme est-elle prête pour sauver son homme ?





Malgré sa longueur et son épaisseur, à aucun moment dans la lecture de ce roman, je n'ai ressenti de lassitude.Val McDermid parvient à maintenir l'intérêt du lecteur en fignolant la psychologie de ses personnages, en dépaysant l'enquête à Tolède ou en Irlande, en multipliant les pistes, en transformant Fiona en l'une de ces héroïnes auxquelles on aimerait ressembler : intelligente, aimante et téméraire. Un bon cru, selon mes critères, de l'auteure écossaise.

C'est rare mais avec ce titre et ces quelques 600 pages, Val McDermid ne m'a pas séduite comme avec son personnage de Karen Pirie ou encore avec le couple Tony Hill/Carol Jordan. Dommage!

Dans cet opus, l'écrivaine devient la reine du détail. Rien n'est laissé au hasard, tout est décrit, analysé, examiné dans ses moindres recoins. C'est sûrement dû au caractère de son personnage : Fiona Cameron psychologue criminelle spécialiste du profilage géographique. Comme consultante pour les forces de l'ordre, elle aide à localiser géographiquement un suspect. Donc, l'analyse est devenue une habitude toute professionnelle et quotidienne, complètement transcendée Et le roman est écrit comme ça: froidement analytique. Ce qui m'a un brin énervée. Son conjoint, est un auteur de polars très populaire, Kit Martin. Et justement, en Écosse, un auteur de polar est assassiné. En Irlande, une autrice de polars, recluse, est assassinée. À Londres, une autre dame du polar est assassinée et tout ce beau monde est mort comme un de leurs personnages. Glaçant! Donc, Kit Martin, l'amoureux de Fiona a peur, elle aussi.

Entre temps, on enquête à Londres sur le viol et le meurtre d'une jeune mère de famille, enquête qui a échoué dans un premier temps, chapeautée par un ami proche de Fiona, le commissaire Steve Preston et à laquelle Fiona avait aussi collaboré.

Bref, j'ai trouvé cette lecture un brin longuette. Aucun des personnages n'est venu me chercher, pas d'antipathie mais pas de sympathie non plus. En prime, j'ai trouvé peu crédible le mobile du tueur. Ses motivations à tuer m'ont paru bien discutables mais bon, c'est juste mon impression.

Beaucoup, beaucoup de mots pour aussi peu d'émotions.

Plus de six cent pages en deux jours..., pour vous dire à quel point j'étais captivée...



Un tueur en série, enlève des auteurs de Thrillers, et les tue en reproduisant les scènes macabres décrites dans leurs livres.



Des meurtres, oui, mais ce n'est pas gore. De la psychologie, qui titille notre imagination. Des personnages attachants, une grande amitié et de l'amour sans tomber dans l'excès... L'adrénaline monte crescendo à chaque pages... Impossible de fermer le livre avant de connaître la fin.



En un mot Envoûtant !!

Val McDermid mérite vraiment d'être connue..
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Dans ce troisième tome de Tombquest, Alex, Ren, Luke et le Dr Todtman se rendent en Égypte dans l’espoir d’y retrouver la mère d’Alex, ainsi que les Sortilèges disparus. Les recherches mènent les trois enfants dans la vallée des rois, où des dangers les guettent…



Globalement, je suis un peu déçue par ce roman. Il s’y passe beaucoup de choses, et c’est justement le problème, car aucune ne m’a paru être exploitée en profondeur. Les pilleurs de tombes ne servent plus ou moins à rien et disparaissent presque aussi vite qu’ils sont apparus ; la vallée des rois, un lieu pourtant mythique, semble se limiter à un seul tombeau ; les voix fantomatiques qui poussent les gens à la folie n’ont aucun impact sur le scénario ; et que dire de Todtman, qui laisse tout de même partir trois enfants seuls alors qu’une menace aussi grande que celle de l’Ordre plane au-dessus de leur tête ?



De même, si j’ai adoré la présence d’une célébrissime figure qui ravira tous les passionnés de l’Égypte antique, je regrette là encore qu’elle n’ait pas été plus mise en avant. L’auteur en a fait un personnage charismatique et attachant, et j’aurais voulu qu’il ait un plus grand rôle à jouer.



Quant aux autres, si j’avais été heureuse de voir Luke intégrer la bande dans le tome précédent, je l’ai trouvé cette fois-ci assez… lourd. Et c’est dommage, parce que cela amoindrit le choc des rebondissements finaux qui auraient pourtant pu avoir l’effet d’une bombe, d’autant qu’on passe tout de suite à autre chose, sans s’y attarder. C’est expédié en quelques paragraphes.



Je dois avouer qu’en dépit d’indices évidents, je ne m’attendais pas à un tel renversement de situation, et cela, en revanche, c’est un point que j’avais déjà mis au crédit de cette saga dans ma précédente chronique : elle est loin d’être gentillette, ce qui est parfois un peu trop le cas en littérature jeunesse.



Il y a toutefois encore trop de solutions miracles. J’avais critiqué l’intervention plus ou moins salvatrice de Paï dans Les gardiens de l’amulette (d’ailleurs, d’où sort-elle, et comment a-t-elle suivi le trio jusque dans la vallée des rois ? Elle apparaît et disparaît à sa guise, sans qu’on n’en sache jamais plus sur elle), et cela se répète avec Ren.



Je n’étais déjà pas emballée à l’idée qu’elle obtienne elle aussi une amulette, et j’ai trouvé qu’elle passait beaucoup trop de temps à se lamenter sur son incapacité à la contrôler… tout ça pour parvenir à l’apprivoiser de façon aussi soudaine que miraculeuse.



Celle d’Alex m’a aussi laissée perplexe à plusieurs reprises, car bien que j’aie lu le second tome de Tombquest assez récemment, je ne me souvenais pas du tout de la plupart des capacités dont il use dans ce livre (détecter les morts, ouvrir et fermer des portes…). Au final, je m’interroge sur le véritable potentiel des amulettes : tantôt elles semblent redoutables, tantôt elles ne leur sont quasiment d’aucune utilité pour se tirer d’affaire.



Malgré cette critique à forte connotation négative, j’aime vraiment beaucoup cette saga, Égypte oblige, mais surtout grâce à l’auteur qui ne ménage pas la sensibilité de ses lecteurs, néanmoins je trouve qu’elle manque de… de… Je n’arrive pas à mettre exactement le doigt dessus, mais je dirais de davantage de développement, peut-être ?
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Les gardiens de l’amulette sont le second tome de la saga jeunesse Tombquest, signée Michael Northrop. Alex et Ren, accompagnés de Luke, se rendent à Londres où sévit un autre Rôdeur du Néant. Alex est déterminé à retrouver sa mère, au moins autant que l’Ordre à les arrêter…



Quelle suite palpitante ! J’avais trouvé le premier tome déjà fort sympathique, mais celui-ci m’a complètement emballée. Il n’y a aucun temps mort, beaucoup de rebondissements et de nouveaux (ou presque) personnages.



J’ai bien aimé le fait que Luke se joigne progressivement au duo principal dans leurs aventures, même si je le sentais venir dès le début du tome. Malgré son intelligence somme toute relative, il se révèle d’une aide précieuse et devient l’un des atouts de la bande.



J’ai en revanche été un peu déçue par Ren, qui m’a paru manquer d’entrain dans la première partie du livre, et du professeur Aditi qui s’avère passablement inutile. Quant à Paï, elle fait un peu trop office de deus ex machina à mon goût, et j’espère qu’on la reverra par la suite, sans quoi j’aurai vraiment le sentiment qu’elle n’était là que pour faire progresser l’intrigue, en surgissant parfois comme un cheveu sur la soupe…



Ce que j’ai le plus apprécié dans cette lecture, c’est sa noirceur. Bien qu’il s’agisse d’une œuvre destinée à un jeune public, l’auteur n’est pas tendre avec ses personnages, et certains (qu’ils soient amis ou ennemis) subissent un sort cruel. Ce n’est cependant pas excessif, et à moins d’être une âme vraiment sensible, il n’y a pas matière à choquer fortement.



En conclusion, cette saga prend un tournant encore plus passionnant avec ce second tome, et j’espère qu’elle continuera à se bonifier par la suite. J’ai hâte de poursuivre les aventures d’Alex, Ren… et Luke.
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Voilà une lecture agréable, propice à l'évasion !



J'ai beaucoup beaucoup aimé retrouver les superstitions et croyances de l'Égypte antique.

Ce décor est un terrain fertile pour développer une histoire fantastique, comme c'est le cas ici ❤

S'y mêle des personnages/ dieux connus ( Anubis, Ammout...), mais l'auteur a aussi su en créer de toutes pièces comme l'homme aux cent piqures.



Ren et Alex forment un duo sympa et crédible.



L'histoire est menée tambour battant, pas de temps mort mais pour autant ce n'est pas « too much ».



J'ai trouvé que tous les ingrédients étaient parfaitement dosés. Je me suis régalée et je lirais la suite, c'est certain !

Ce premier tome de Tombquest, le livre des morts, nous introduit dans l'univers du héros, Alex Sennefer, un jeune garçon de onze ans atteint d'une grave et mystérieuse maladie. Sa mère, employée du MET et responsable de l'exposition sur l'Égypte antique, n'hésite pas, pour le sauver d'une mort certaine, à utiliser de puissants sortilèges, qui ne seront pas sans conséquence.



J'ai bien aimé ce début de saga. le décor plus ou moins égyptien dans lequel les personnages évoluent m'a agréablement rappelé La boutique des cartes perdues (Ulysse Moore), mais aussi l'époque où je me passionnais moi-même pour l'Égypte antique.



J'ai été heureuse de retrouver certaines légendes, comme la pesée des âmes, et d'en découvrir de nouvelles. Cet aspect du livre est vraiment très intéressant, et j'ose espérer qu'il sera encore plus développé dans les tomes suivants.



Les personnages sont attachants. Cela m'a paru original de commencer l'intrigue avec un protagoniste malade au point que son état l'handicape dans ses activités du quotidien. C'était même audacieux, dans un roman qui annonçait tant de péripéties, mais ce point-là est ensuite rayé du livre. Dès l'instant où Alex sort de l'hôpital, il est au sommet de sa forme.



Ren est sympathique, à la fois indispensable et en retrait. Indispensable pour son pragmatisme, elle a toujours d'excellentes idées et apporte bon nombre de solutions, et en retrait car, comme elle ne manque pas de le souligner elle-même, elle se sent un peu inutile à côté des amulettes d'Alex et du docteur Todtman. Quant à ce dernier, j'ai apprécié qu'il nous mène dans un premier temps sur une fausse piste.



L'histoire se lit quant à elle agréablement. Elle est peut-être un peu rapide, mais surtout, elle fourmille de zone d'ombres qui donne envie de lire la suite pour en apprendre davantage sur les sombres actions de l'Ordre et les mystères qui entourent la disparition de la mère d'Alex. Aucun doute aussi que ses origines, du côté de son père, seront également éclaircies tôt ou tard.



En somme, c'est un roman entraînant, destiné à la jeunesse mais tout de même assez sombre, avec beaucoup d'action, de rebondissements et de suspens. Une bonne lecture, donc, que je recommande.
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Le résumé donnant l'eau à la bouche, je n'ai pas mis très longtemps avant de le sortir, hors le fait que ce soit un SP et donc un livre prioritaire dans mes lectures. L'aspect du livre m'a beaucoup plus, le fond noir de la couverture, ce logo d'un Blackbird, mais surtout le bord des pages rouge vif est tout simplement attirant à souhait !

Dès le premier paragraphe, nous sommes dans l'histoire, nous sommes le personnage, au sens propre. Oubliez le "Elle se réveilla fraîche comme une fleur" ou "Machinbidule se leva fraîche comme une fleur", mais plus à "Tu te réveilles. Tu te regardes dans le miroir", nous sommes le personnage principal, nous découvrons donc tout au fur et à mésure de l'histoire, sans autre information ou indice qui pourrait nous mener sur la voie. La narration est donc LE plus gros point fort du roman, une originalité qui mérite d'être découverte, savourée et partagée ! Bravo à Anna Carey pour ce détail qui fait toute la différence.



Sans avoir trop d'explications encore sur pourquoi nous sommes traquer, l'action est d'autant plus présente avec à chaque chapitre un rebondissement, une course poursuite et j'en passe. Un rythme qui ne connaît pas de baisse de tension et qui nous tient en haleine jusqu'au bout. Le temps de lecture, au vue de l'addiction de ce premier tome, est bien court et j'avoue avoir réclamer encore quelques pages pour ne pas quitter cet univers, désireuse d'en savoir plus !



Pour conclure, enfin un thriller que les plus jeunes peuvent comprendre et apprécier, mais qui peut convenir également à ceux ayant quelques années de plus !

Une auteure inconnue avant Nom de code : Blackbird, mais qui donne un bon départ avec ce tome et qui, je l'espère, tiendra la longueur avec la suite, que j'attends d'ailleurs avec impatience !
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Un premier tome qui m'a vraiment embarqué dans son univers. Il y a beaucoup d'action, et le rythme est soutenu. Le personnage de Sunny est surprenant et très courageux. On ne s'ennuie pas quand on la suit, entre mensonges, trahisons et chasse à l'homme!

que dire j'ai bien aimé suivre les héros dans ce troisième opus et j'ai adoré cette fin qui me donne envie de lire la suite...

Un réel plaisir de plonger dans ce deuxième tome qui m'a happé dans l'action jusqu'au point final, j'ai adoré !!!

Le résumé m'avait énormément plus et je me devais de le lire. Je l'ai lu en deux jours à peine, mais pourtant, je reste assez mitigée après cette lecture.

Le roman est écrit à la deuxième personne du singulier, soit à "Tu" et je dois dire que j'ai eu énormément de mal à m'habituer. Ce style de narration ne me plait pas du tout. Je ne me suis, en conséquent, pas du tout attaché au personnage principale. Mais sinon le reste était super bien ! Suspens et actions sont au rendez-vous. Le pourquoi du comment est dévoilé au fur et à mesure et on pourrai s’attendre que cette histoire pourrai devenir une réalité. Hâte de lire la suit !

un grand plaisir d'avoir découvert ce premier opus très intéressant et addictif qui donne envie de lire la suite et surtout d'en savoir plus sur les personnages principaux !!!

J’ai adoré le postulat de base : ON NE SAIT RIEN. Hormis le tatouage un brin cryptique et les quelques effets qu’on a laissé dans son sac, notre jeune héroïne est comme « née » dans la station de métro et n’a aucun souvenir de son identité ou de sa vie passée. Au cours de sa fuite dans les rues de Los Angeles, elle essaye tant bien que mal de comprendre ce qu’il lui arrive, obligée de subir sa situation et les quelques petits… cadeaux qu’on lui fait. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle est en danger, un danger qui va vite prendre corps. Entre rêves et souvenirs, quelques images vont lui revenir, pour le pire ou le meilleur. Et puis quelques chapitres nous placent « de l’autre côté », mais le propos reste adroitement opaque, de sorte à nous laisser quand même dans le brouillard mais à bien nous faire flipper. Je ne vais même pas parler du cliffhanger final qui m’a juste donné envie de me ruer sur la suite.



Une très bonne surprise donc, et un super divertissement ado/YA, bien écrit pour ne rien gâcher.
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