"Sur la violence gratuite en France", l'ouvrage du pédospychiatre Maurice Berger, cité sur Cnews. Avec Christine Kelly et Eric Zemmour.
Il publie le 9 juin 2021 "Faire face à la violence en France", toujours aux éditions de l'Artilleur.
Dans une ère où les opinions sont souvent formées en un clic, la Journée mondiale du livre cette semaine est l'occasion idéale de célébrer la puissance de la lecture comme outil indispensable pour armer notre esprit critique et préserver notre bon sens.
L'un des plus grands atouts du livre est sa capacité à nous immerger dans des mondes différents, à nous confronter à des idées nouvelles et contradictoires, ce qui nous oblige à remettre en question nos propres croyances et à affiner notre discernement. Cette pratique est essentielle dans une société où la perversion de la réalité prend facilement le dessus.
On passe souvent son temps à chercher comment aider les autres au bout du monde, en ayant tendance à négliger la souffrance humaine à portée de pas.
J'ai le sentiment que le rapport de force garçons-filles a évolué dans le sens d'un meilleur équilibre des responsabilités. Mais le chemin est encore long à parcourir et les frustrations se vivent en silence... Nous nous sommes imposées à force de compétence et en faisant montre de détermination et de volontarisme. Il faut se battre pour avancer. Quand on avance, les questions fusent pour vérifier la vie privée, la couleur de peau, la tenue vestimentaire, tout pour détourner les regards de la seule valeur qui compte: la compétence.
La victimisation à outrance ne m’inspire rien de bon. D’abord, elle entraîne une confusion entre le désespoir et la vérité — car les victimes officielles coïncident mal, parfois, avec les véritables persécutés. Ensuite, je préfère l’action à la déploration, la « résistance » à ce mot de « résilience » — véritable temple élevé à la gloire populacière des victimes et sous le toit duquel il vaut mieux encaisser que réagir.
Dans une démocratie, il faut admettre que les pensées les plus variées puissent être citées - ou alors ce n est pas une démocratie.
Le gouvernement français et ses instances ont procédé à 49 971 demandes de retrait de contenus toutes plateformes confondues. Soit le 4e pays le plus actif derrière l Inde (77 620), la Russie (77 162) ou la Turquie (63 585). Ces chiffres en disent assez sur notre désir de censure.
Ce métier consiste aussi à rendre compte, témoigner, mettre en lumière des problèmes afin que le système politique puisse ensuite trouver des solutions.
Pourquoi l'homme bénéficie souvent du qualificatif de "savoir faire preuve d'autorité", d'être autoritaire, et la femme "d'incontrôlable" ou "d'hystérique" dès qu'elle a le sens de l'initiative? Oui, les hommes ont du caractère, et les femmes ont mauvais caractère... Pourquoi un homme qui innove a le sens de l'initiative, alors qu'une femme qui sort des sentiers battus est incontrôlable?
Pour cette première vraie campagne de son mari, Pénélope s'affiche toujours à ses côtés.
C'est une insulte faite au peuple, c'est une offense à l'esprit démocratique que de choisir les idées supposément dignes d'être formulées.