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Le roman policier le plus original que j’ai lu ! Que vous aimiez ou non ce genre, vous serez emporté dans une histoire qui ne ressemble à aucune autre.
La famille Hardcastle convie une quinzaine d’invités à une réception dans leur manoir de Backheath, niché dans la campagne anglaise, où un terrible drame est survenu il y a près de vingt ans. Aiden Bishop se retrouve dans ce domaine, sans savoir ni qui il est ni ce qu’il doit faire. Il apprend qu’il a pour mission de résoudre le meurtre d’Evelyn Hardcastle, la fille des hôtes, qui sera assassinée à 23h. Tant qu’il n’a pas identifié le coupable, il est condamné à revivre cette même journée en boucle, en habitant chaque jour le corps d’un des invités.
L’auteur renouvelle le roman policier en le mêlant avec brio à d’autres genres littéraires. Ce livre pourrait être décrit comme un roman policier fantastique, à l’atmosphère digne d’un roman gothique, peuplé de paysages lugubres et menaçants entourant un manoir de style victorien en décrépitude où le danger rôde et le sang peut jaillir.
Les personnages sont bien dessinés psychologiquement et très authentiques dans leur attitude. Les incarnations d’Aiden Bishop lui permettent de percevoir et vivre différemment les mêmes événements grâce aux capacités physiques et mentales de ses multiples hôtes. L’auteur décrit avec perfection les changements comportementaux et psychologiques qui résultent de ces incarnations. Ces dernières permettent également de mieux appréhender les personnages du roman.
J’ai rarement été autant happée par une lecture. L’auteur nous tient en haleine tout au long des 600 pages du roman sans jamais nous lasser ou tomber dans une forme de redondance que la répétition des scènes et de la même journée pourraient entraîner.
Une prouesse d’écriture tant l’architecture labyrinthique et le scénario tortueux de ce roman sont complexes. La partition est sans fausse note. Stuart Turton a d’ailleurs remporté le Costa Book Award 2018 et le prix du meilleur roman aux Book Are My Bag Readers’ Awards 2018 pour ce premier roman.
Au-delà de l’enquête, ce roman offre une réflexion intéressante sur les notions de justice et de rédemption.
Petit conseil : ne cherchez pas à tout comprendre dès les premières pages (c’est impossible !).
La famille Hardcastle convie une quinzaine d’invités à une réception dans leur manoir de Backheath, niché dans la campagne anglaise, où un terrible drame est survenu il y a près de vingt ans. Aiden Bishop se retrouve dans ce domaine, sans savoir ni qui il est ni ce qu’il doit faire. Il apprend qu’il a pour mission de résoudre le meurtre d’Evelyn Hardcastle, la fille des hôtes, qui sera assassinée à 23h. Tant qu’il n’a pas identifié le coupable, il est condamné à revivre cette même journée en boucle, en habitant chaque jour le corps d’un des invités.
L’auteur renouvelle le roman policier en le mêlant avec brio à d’autres genres littéraires. Ce livre pourrait être décrit comme un roman policier fantastique, à l’atmosphère digne d’un roman gothique, peuplé de paysages lugubres et menaçants entourant un manoir de style victorien en décrépitude où le danger rôde et le sang peut jaillir.
Les personnages sont bien dessinés psychologiquement et très authentiques dans leur attitude. Les incarnations d’Aiden Bishop lui permettent de percevoir et vivre différemment les mêmes événements grâce aux capacités physiques et mentales de ses multiples hôtes. L’auteur décrit avec perfection les changements comportementaux et psychologiques qui résultent de ces incarnations. Ces dernières permettent également de mieux appréhender les personnages du roman.
J’ai rarement été autant happée par une lecture. L’auteur nous tient en haleine tout au long des 600 pages du roman sans jamais nous lasser ou tomber dans une forme de redondance que la répétition des scènes et de la même journée pourraient entraîner.
Une prouesse d’écriture tant l’architecture labyrinthique et le scénario tortueux de ce roman sont complexes. La partition est sans fausse note. Stuart Turton a d’ailleurs remporté le Costa Book Award 2018 et le prix du meilleur roman aux Book Are My Bag Readers’ Awards 2018 pour ce premier roman.
Au-delà de l’enquête, ce roman offre une réflexion intéressante sur les notions de justice et de rédemption.
Petit conseil : ne cherchez pas à tout comprendre dès les premières pages (c’est impossible !).
Ce second livre de Stuart Turton ne m'a pas captivée comme "Les septs morts d'Evelyn Hardcastle" qui m'avait fait retenir mon souffle dès la première page. "L'étrange traversée du Saardam" demande plus de volonté et presque de ténacité pour le lire. Ce n'est qu'à la moitié du livre que je l'ai vraiment trouvé prenant.
Mais c'est ensuite une histoire en huit clos qui captive, qui est Old Tom ? Est il un démon ? Existe-t-il ou est-ce une légende ? Qui est complice ou coupable ? Qui sera victime et qui s'en sortira et comment ?
En bref un bon livre qui nous fait nous questionner sans jamais trouver la solution (en tout cas pour ma part !)
Pas d'inquiètude pour ceux qui détestent les fins ouvertes ou non expliquées, ici toutes les questions trouvent une réponse comme l'image d'un puzzle qui se révèle avec la dernière pièce
Mais c'est ensuite une histoire en huit clos qui captive, qui est Old Tom ? Est il un démon ? Existe-t-il ou est-ce une légende ? Qui est complice ou coupable ? Qui sera victime et qui s'en sortira et comment ?
En bref un bon livre qui nous fait nous questionner sans jamais trouver la solution (en tout cas pour ma part !)
Pas d'inquiètude pour ceux qui détestent les fins ouvertes ou non expliquées, ici toutes les questions trouvent une réponse comme l'image d'un puzzle qui se révèle avec la dernière pièce
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