Sabran [corriger]

Chaque année, une centaine d'habitants du royaume de Talin participent aux Jeux. Cette arène sanglante promet d'inimaginables richesses à son unique vainqueur dans un royaume où la pauvreté, la violence et les injustices règnent en maître. Dans cette réécriture, Cléopâtre est incarnée par Calla, une princesse vengeresse, et Antoine par Anton, un aristocrate en exil. Alors que les deux héros participent aux Jeux, ils poursuivent des objectifs qui dépassent la simple soif de richesse : tuer le roi et renverser la tyrannie en place pour Calla, sauver son amour plongé dans le coma pour Anton.



Alors que le résumé m’avait séduite, je ressors mitigée de ma lecture.



J’ai beaucoup apprécie l’univers créé par l’auteure qui s’est inspirée de la citadelle chinoise de Kowloon City en y insérant des touches d’antiquité romaine et cyberpunk. L’intrigue est originale et bien menée, portée par une écriture fluide, jusqu’à un plot twist final qui donne envie de lire la suite. Même si certains sont prévisibles, les rebondissements s’enchaînent agréablement. Les personnages, principaux comme secondaires, sont torturés et intéressants. Tous ont leurs secrets et leurs ambitions, jouant à un jeu de pouvoir machiavélique plus grand qu’eux. L’idée des sauts d’un corps à l’autre m’a plu et a donné une touche de magie bienvenue dans cet univers déjà passionnant.



Néanmoins, j’ai trouvé que l’intrigue peinait à démarrer et que le récit souffrait de longueurs. Le jeu mortel tend à passer au second plan par rapport aux luttes de pouvoir. Peut-être que ma vision a été influencée par Hunger Games, d’où une attente sans doute trop grande sur ce point. J’ai eu du mal à m’attacher aux personnages et ai trouvé que la romance ennemies to lovers était un peu superficielle et tombait « comme un cheveux sur la soupe ». Je pense que ce tome pose les bases de la trilogie et lance des pistes destinées à être développées et approfondies dans les tomes suivants.



Pour conclure, même si ça a été une lecture en demi-teinte pour moi, j’ai aimé me plonger dans cette adaptation moderne de l’histoire d’Antoine et Cléôpatre. L’univers débordant d’action et de danger, ainsi que les pistes lancées laissent présager une suite des plus intéressantes. Je suis persuadée que Désirs immortels séduira un grand nombre de lecteurs.

Je dois dire que les premières pages ont été compliqué à lire. Mais quand on arrive au passage après le déménagement, c'est beaucoup mieux.



Mais les relations de Briséis envers certains personnages sont un peu trop simple (elle fait facilement confiance).



Certains personnages semblent servire un peu à rien ou pourrai être assemblé en un personnage. Sinon, j'ai beaucoup aimé les autres.



La mythologie est bien amené et pareil pour le reste chaque chose est logique.



Mais personnellement, j'ai trouvé que les dernières pages allaient beaucoup trop vite et donnait plein d'information d'un coup.

DNF. J'abandonne très tôt, j'en suis consciente et je ne peux donc pas donner une opinion sur le livre. Mais, le début ne m'a vraiment pas séduite.



L'écriture, le style, le rythme. Je n'arrive pas du tout à entrer dans l'univers et je trouve le format de "journal" débordant d'informations en tout genre aussi ennuyeux que lourd.



En plus, je n'arrive pas à accrocher avec l'héroïne. Ça ne s'explique pas, mais elle a quelque chose qui m'agace et honnêtement, je ne la trouve pas réellement crédible dans son rôle pour le moment. Elle est censée avoir l'habitude de faire des recherches sur le terrain, mais son arrivée dans le village ne m'a pas du tout donné cette impression, bien au contraire. Elle m'a même semblé manquer de bon sens. Ce qui fait que ma première impression d'elle m'a plutôt fait peur quant à l'écriture des personnages.



Je ne saurai pas s'ils sont bons ou non, n'ayant aucune envie de poursuivre l'aventure.