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Une étude en rouge, c'est la première enquête de Holmes et Watson. Dans celle-ci, un homme est retrouvé mort dans un appartement abandonné de Londres. D'après les détectives Lestrade et Gregson, il n'y a aucun indice et c'est pour cela qu'ils font appel à notre détective consultant. C'est ainsi que nos deux comparses se lancent sur la piste du coupable. La deuxième partie s'attache d'ailleurs à nous raconter le passé de cet homme.



J'ai bien apprécié la lecture de cette aventure. La plume n'a rien de spécial, mais le personnage de Sherlock est tellement intéressant ! J'adore suivre ses réflexions au fil de l'enquête et voir le coupable démasqué d'un coup sans que nous ne nous en doutions.



La seconde partie est très dépaysante puisque l'on se retrouve dans l'Utah, à Salt Lake City avec la communauté Mormon. J'ai eu beaucoup de mal à comprendre le pourquoi du comment pendant une grande partie du récit et pourtant, j'ai beaucoup aimé. Je précise que si je n'ai pas compris, c'est seulement parce que je n'ai pas été attentive au nom du coupable. Oups !



Enfin, parlons de l'écrin incroyable donné à ce récit grâce à Tibert et à Élisa Roman. J'ai adoré découvrir l'enquête au milieu de ces pages décorées et des différentes illustrations qui donnent vie aux personnages.

A une semaine de son départ en retraite, l'inspecteur REBUS enquête avec sa collègue CLARKE sur le meurtre d'un poète russe dissident. Il met au jour les liens qui unissent CAFFERTY, l'intouchable caïd d'Edimbourg, des oligarques moscovites, des députés et des banquiers.

Finalement, beaucoup de complications pour une affaire qui s'avèrera finalement assez simple.

Un polar assez moyen, finalement, avec beaucoup trop de dialogues inutiles et une intrigue plutôt tirée par les cheveux.

Cette enquête marque notre toute première rencontre avec Sherlock Holmes. A travers le journal du Dr Watson, qui est le narrateur de l’histoire, Conan Doyle nous propose de faire la connaissance de son célèbre détective.



Ce roman est introductif et se lit plutôt vite, mais le procédé consistant à faire raconter l’histoire par Watson à travers son journal est une très bonne idée. Watson nous partage ses pensées et son ressenti en faisant la connaissance de Sherlock Holmes. On ressent toute l’admiration qu’il peut avoir pour ce personnage atypique. Il nous brosse un portrait très complet du détective en décrivant sa personnalité et ses méthodes révolutionnaires et peu conventionnelles pour résoudre une enquête.



L’enquête d’ailleurs est prenante. En 1880, un homme est retrouvé mort dans un immeuble abandonné de Londres avec l’inscription « Rache » (vengeance en allemand) écrit à côté de lui. En parallèle, nous découvrons le destin d’un homme exécuté par les Mormons dans le désert du Nevada, 20 ans plus tôt.

Quel est le lien entre ces deux meurtres ? Holmes va bien sûr apporter une solution à ce mystère grâce à sa déduction et sa logique légendaire.



J’ai adoré lire ce court roman et assister à la rencontre entre Sherlock Holmes et John Watson. Malgré le ton introductif du récit, on arrive déjà à deviner la relation qui liera les deux hommes.

Le style de Conan Doyle est très agréable à lire, sans fioritures et allant à l’essentiel. On voit qu’il prend beaucoup de plaisir à développer et raconter la partie se déroulant au Nevada.

Un très bon roman qui donne envie de découvrir la suite des aventures de Sherlock Holmes.