![]() |
Le diable rebat les cartes de Ian Rankin
- Est-ce que je rêve ? dit Fox. Vous avez laissé tomber les clopes ? - Appelons ça une séparation à l'essai, répondit Rebus. |
Dans ce nouvel épisode, nous continuons notre visite des coulisses du genre en compagnie de Fabienne Gondrand, traductrice littéraire, qui nous raconte ses débuts dans le métier et sa passion pour les éditions du Masque, héritage d'un grand-père italien fan des polars d'Agatha Christie et de Simenon. Au fil de la conversation, on évoque sa traduction "jubilatoire" de Meurtres à Kingfisher Hill de Sophie Hannah, l'héritière de la Reine du crime, ainsi que les romans noirs électriques de Joseph Knox, où la ville de Manchester se dresse comme un personnage. Pour finir, Fabienne nous parle en avant-première de la nouvelle aventure de l'inspecteur John Rebus, par l'immense Ian Rankin, auteur phare de la maison. Bonne écoute ! CRÉDITS : Conversation dans le noir est un podcast des éditions du Masque. Réalisation : Paul Sanfourche Générique : Longing - Joachim Karud
![]() |
Le diable rebat les cartes de Ian Rankin
- Est-ce que je rêve ? dit Fox. Vous avez laissé tomber les clopes ? - Appelons ça une séparation à l'essai, répondit Rebus. |
![]() |
Tels des loups affamés de Ian Rankin
Depuis bien longtemps déjà , Cafferty savait que le monde des gangsters était le monde du capitalisme . Il fallait créer des marchés , les soutenir, les développer , en éliminant toute la concurrence .
|
![]() |
Le diable rebat les cartes de Ian Rankin
- Et cette fichue musique qui ne s'arrête jamais…, déclara Cafferry en regardant les hauts- parleurs montés au plafond. Comme dans les restaurants et la moitié des magasins. Ça me rend dingue. - Et ça ne mérite même pas le nom de musique, ajouta Rebus. Comme celle qu'on a connue dans le temps. |
![]() |
Le Carnet noir de Ian Rankin
- Tu sais quoi, Deek, glissa Rebus. Ma vie, c'est une comédie noire. -Ah ! bon. Ben, c'est mieux que si c'était une tragédie, non ? Rebus commençait à se demander s'il y avait vraiment une différence entre les deux. |
![]() |
La Colline des chagrins : Une enquête de l'inspecteur Rebus de Ian Rankin
On ne peut pas espérer qu'il suffise de regarder quelqu'un dans les yeux pour le connaître, pour prendre sa mesure.
|
![]() |
Le Carnet noir de Ian Rankin
Les femmes devaient travailler deux fois plus que les hommes pour obtenir le même avancement que leurs collègues masculins, chacun savait ça. Page 78 - Folio policier |
![]() |
Le diable rebat les cartes de Ian Rankin
- Est-ce qu'on appelle le patron , lui demanda-t-il. - On appelle le patron, répondit-elle. Après qu'on aura pris ce que j'appelle une bonne tasse de thé bien méritée. - Plus des gaufrettes au caramel. - Qu'est ce que j'aime ça, quand tu dis des choses sales, Mark, (…). |
![]() |
Le diable rebat les cartes de Ian Rankin
- Deb n'aime pas le foutoir - tu as vu toi-même la façon dont elle tient sa morgue. Tu pourrais dîner à même une de ses tables d'examen. - Tant que celle-ci n'est pas occupée ! |
![]() |
Du fond des ténèbres de Ian Rankin
Nous venons des ténèbres, ne l'oubliez pas. Si nous dormons la nuit, c'est pour tenter de l'oublier.
|
![]() |
La Colline des chagrins : Une enquête de l'inspecteur Rebus de Ian Rankin
C'était vrai : en cas de disparition suspecte, on visite tous les endroits où la personne pourrait se trouver. On applique les règles : signature de documents, obtention d'autorisation. On fouille l'appartement du petit ami. Rebus aurait pu ajouter : on le fait parce que c'est neuf fois sur dix quelqu'un que la victime connaît. Pas un inconnu choisissant une proie dans la nuit. On se fait tuer par les gens qu'on aime : époux, amant, fils ou fille. Par son oncle, son meilleur ami, la personne à qui on fait confiance. On les a trompés ou on a été trompé par eux. On sait quelque chose, on a quelque chose. Ils sont jaloux, se sentent floués, ont besoin d'argent.
|
Salut, moi c'est John, Rebus, drôle de nom pour un flic. Je suis d'Edinburgh, mon père est Ian Rankin, il m'a collé tous les défauts possibles, je fume, je bois etc..., mais question traque des malfrats de toute espèce je suis au TOP. Tout ça a commencé lorsque j'ai quitté l'armée pour rentrer chez les flics, c'est ce qui y ressemblait le plus. Ma première enquête à Edinburgh, que je connais comme ma poche, a consisté a mettre sous les verrous, le fameux ............ d'Edinburgh. Un frappé rodant dans la bibliothèque, tuant de très jeunes filles…sans lien apparent entre elles.