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Je continue sur ma lancée de découvrir les livres Hunger Games après un véritable coup de cœur pour le tome 1.
La plume est toujours aussi agréable à lire, on glisse sur les pages sans pouvoir s'arrêter.
Néanmoins, ce livre a un gros défaut sans en être un : Katniss.
J'ai trouvé l'héroïne proprement naïve à souhait et j'avais une furieuse envie de lui donner des claques. OK elle n'a pas une situation facile mais elle fait souffrir ses proches par son indécision chronique...
Peeta à côté reste inébranlable dans ses décisions, fort à sa manière. Et Gale, un personnage secondaire qui se dessine de plus en plus.
Au niveau de l'histoire, le début est assez long et étrangement résumé, des fois l'autrice fait des ellipses puis revient en arrière...alors que la partie sur les jeux est particulièrement courte contrairement au reste. Mais cette fin punaise ! Et j'ai encore plus envie de voir les films !
La plume est toujours aussi agréable à lire, on glisse sur les pages sans pouvoir s'arrêter.
Néanmoins, ce livre a un gros défaut sans en être un : Katniss.
J'ai trouvé l'héroïne proprement naïve à souhait et j'avais une furieuse envie de lui donner des claques. OK elle n'a pas une situation facile mais elle fait souffrir ses proches par son indécision chronique...
Peeta à côté reste inébranlable dans ses décisions, fort à sa manière. Et Gale, un personnage secondaire qui se dessine de plus en plus.
Au niveau de l'histoire, le début est assez long et étrangement résumé, des fois l'autrice fait des ellipses puis revient en arrière...alors que la partie sur les jeux est particulièrement courte contrairement au reste. Mais cette fin punaise ! Et j'ai encore plus envie de voir les films !
*Relecture*
Ma première lecture de ce deuxième tome, comme de toute la série principale Hunger Games, date d'une quinzaine d'année, lorsque ce livre phénomène était en plein essor. Je gardais un souvenir plutôt précis de la partie se déroulant dans l'arène, mais pas du tout du reste.
Et c'est pourtant cette première partie que j'ai beaucoup aimé.
L'univers s'approfondit, on découvre plus du quotidien dans les 12 Districts. Et autant dire que ce n'est pas vraiment reluisant. Le district 12 était relativement épargné, et le 1er tome servait de découverte de l'univers.
Dans l'Embrasement, on y rentre de plein pied. Les conditions de la tyrannie de Snow et du Capitole sont exposées bien plus crument. Accepter les réactions des habitants du Capitole alors que ceux des Districts meurent de faim à quelques kilomètres est difficile. Et pourtant, de telles inégalités n'existent-elles pas dans nos sociétés aussi?
Avec cette plongée dans les méandres de l'univers, le début est un peu plus long à se mettre en place. Je ne me suis pourtant pas ennuyée : les actions s'enchainent avec peu de temps mort, même si les réflexions autocentrées de Katniss tournent parfois un peu en rond.
Elle reste centrée sur elle même et son entourage direct, sans réussir à se projeter vers les autres, que ce soit au sein de son district ou dans les autres. Difficile de lui en vouloir vraiment, sa réaction est humaine.
Peeta est lui même centré sur son entourage proche, voulant avant tout protéger Katniss et ses amis. Ce n'est pas non plus un réactionnaire dans l'âme.
Et pourtant leurs actions en duo font être le point de départ de beaucoup de choses.
Les personnages secondaires restent en retrait, à l'exception d'Haymitch, jusqu'à la troisième partie. La présentation des candidats ramène un peu de piment, avec quelques uns vraiment attachants. Finnick, Mags ou encore Beetee sont marquants à leur manière. Augmenter le nombre de personnages en interaction avec le duo principal donne aussi un peu de fraicheur au récit.
A partir de la troisième partie, tout s'accélère, et il devient difficile de lâcher le roman. Un sacré final clôt ce deuxième tome, qui me donne envie de replonger au plus vite dans cet univers avec sa conclusion.
Une jolie relecture, qui m'aura fait redécouvrir les nuances du roman, au delà des scènes d'action qui restent en mémoire longtemps après la lecture.
Ma première lecture de ce deuxième tome, comme de toute la série principale Hunger Games, date d'une quinzaine d'année, lorsque ce livre phénomène était en plein essor. Je gardais un souvenir plutôt précis de la partie se déroulant dans l'arène, mais pas du tout du reste.
Et c'est pourtant cette première partie que j'ai beaucoup aimé.
L'univers s'approfondit, on découvre plus du quotidien dans les 12 Districts. Et autant dire que ce n'est pas vraiment reluisant. Le district 12 était relativement épargné, et le 1er tome servait de découverte de l'univers.
Dans l'Embrasement, on y rentre de plein pied. Les conditions de la tyrannie de Snow et du Capitole sont exposées bien plus crument. Accepter les réactions des habitants du Capitole alors que ceux des Districts meurent de faim à quelques kilomètres est difficile. Et pourtant, de telles inégalités n'existent-elles pas dans nos sociétés aussi?
Avec cette plongée dans les méandres de l'univers, le début est un peu plus long à se mettre en place. Je ne me suis pourtant pas ennuyée : les actions s'enchainent avec peu de temps mort, même si les réflexions autocentrées de Katniss tournent parfois un peu en rond.
Elle reste centrée sur elle même et son entourage direct, sans réussir à se projeter vers les autres, que ce soit au sein de son district ou dans les autres. Difficile de lui en vouloir vraiment, sa réaction est humaine.
Peeta est lui même centré sur son entourage proche, voulant avant tout protéger Katniss et ses amis. Ce n'est pas non plus un réactionnaire dans l'âme.
Et pourtant leurs actions en duo font être le point de départ de beaucoup de choses.
Les personnages secondaires restent en retrait, à l'exception d'Haymitch, jusqu'à la troisième partie. La présentation des candidats ramène un peu de piment, avec quelques uns vraiment attachants. Finnick, Mags ou encore Beetee sont marquants à leur manière. Augmenter le nombre de personnages en interaction avec le duo principal donne aussi un peu de fraicheur au récit.
A partir de la troisième partie, tout s'accélère, et il devient difficile de lâcher le roman. Un sacré final clôt ce deuxième tome, qui me donne envie de replonger au plus vite dans cet univers avec sa conclusion.
Une jolie relecture, qui m'aura fait redécouvrir les nuances du roman, au delà des scènes d'action qui restent en mémoire longtemps après la lecture.
Un court roman très poétique, trop peut-être à mon goût. L'écriture est très ... islandaise et assez proche de Jon Kalman Stefanson.
On suit une adolescente handicapée au sein d'un village islandais. Sa mère l'a confiée à une amie pour poursuivre ses recherches dans des pays lointains (africains?). La correspondance de la mère à sa fille rythme le récit. La promesse d'un prochain retour en Islande ou de faire venir sa fille à elle à l'étranger revient comme un mantra.
Au fil des pages, on comprend que le père, chercheur également, n'a été que le géniteur mais qu'il a disparu aussi vite qu'il avait débarqué sur l'île.
Alors que les habitants de l'île sont tournés vers la mer, Augustina est, quant à elle, fascinée par la montagne qui surplombe le village. Elle se promet d'un jour la gravir.
On suit une adolescente handicapée au sein d'un village islandais. Sa mère l'a confiée à une amie pour poursuivre ses recherches dans des pays lointains (africains?). La correspondance de la mère à sa fille rythme le récit. La promesse d'un prochain retour en Islande ou de faire venir sa fille à elle à l'étranger revient comme un mantra.
Au fil des pages, on comprend que le père, chercheur également, n'a été que le géniteur mais qu'il a disparu aussi vite qu'il avait débarqué sur l'île.
Alors que les habitants de l'île sont tournés vers la mer, Augustina est, quant à elle, fascinée par la montagne qui surplombe le village. Elle se promet d'un jour la gravir.
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