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Je viens de finir le tome qui clôture (je pense) cette trilogie écrite par Lynette Noni ; chaque tome fut une très sincère et belle lecture.
L’autrice a sur renouveler le rythme, le cadre du récit ; en effet, il débute par une sorte de huis clos dans une prison. C’est un exercice est périlleux et il a été surmonté allégrement.
Mention aussi sur les personnages qui ne restent pas linéaires et qui évoluent, prennent de la maturité.
J’ai aimé l’univers construit où la magie est un don précieux et source de convoitise.
Je ne saurai vous recommander plus directement de vous saisir de cette aventure de lecture.
L’autrice a sur renouveler le rythme, le cadre du récit ; en effet, il débute par une sorte de huis clos dans une prison. C’est un exercice est périlleux et il a été surmonté allégrement.
Mention aussi sur les personnages qui ne restent pas linéaires et qui évoluent, prennent de la maturité.
J’ai aimé l’univers construit où la magie est un don précieux et source de convoitise.
Je ne saurai vous recommander plus directement de vous saisir de cette aventure de lecture.
Pourquoi ça n’a pas accroché… Mettons cela sur le dos de mes vieux os.
J’ai l’impression que dans le registre Young Adult, on est servi au revu, et encore du revu.
Quand aurons-nous du nouveau au menu ?
Mais pourquoi changer une équipe qui gagne, me direz-vous ? Vous avez probablement raison. Ce n’est pas au menu de changer, mais plutôt à moi de changer de restaurant !
Après tout, c’est vrai ! On a de la romance qui pointe très vite le bout de son nez, une héroïne prise rapidement dans les engrenages d’un conflit d’intérêts où elle doit protéger la Reine Rebelle, accessoirement sauver sa propre vie et celle de Pipp (mon personnage préféré, dommage qu’il soit moins présent dans les tomes suivants sinon, rien que pour lui, j’aurais poursuivi l’aventure) avec des épreuves (bien que non spectaculaires) meurtrières ! Mais où elle s’en sort admirablement bien. Très vite on comprend que quoi qu’il arrive, aussi pénibles soient ces supplices, elle s’en sortira. Attendez, on parle de l’héroïne en même temps. Logique, non !? C’est sûr, c’est plus pratique.
On a un héro qui tombe littéralement sous son charme dès la première rencontre et cela en dépit de la froideur, des piques, de la rancœur, de l’épaisseur de ses ambitions secrètes et du rejet de notre héroïne contre toutes ses intentions. Tel est le sempiternel mantra de la romance prévu à un public adolescent : «Plus elle lui résiste, plus il la désire». Un vrai coup gagnant dans la catégorie mi-lourd ! (Mais qui visiblement ne me fait plus le même effet que dans ma nostalgique jeunesse…) Forcément, il est beau, il est fort, toujours attentionné, jamais blasé, et cache de nombreux secrets qui, je vous rassure, seront révélés à la fin de ce premier tome.
À cela, rajoutez des passages tirés en longueur qui m’ont trop souvent fait lever le nez à la recherche d’oxygène. Quand l’intrigue n’arrive pas à m’accrocher, ce n’est jamais bon présage. Allez savoir ? Peut-être que je souffre de troubles de l’attention…
Les indices disséminés tout du long du récit étaient pour la plupart cruellement prévisibles… et parfaitement intentionnels de la part de l’autrice. En effet, quoi de mieux que de placer des «évidences» pour cacher des informations bien plus subtiles ?! Eh oui, certaines révélations se sont avérées incongrues et aussi percutantes qu’un uppercut ! C’était à la fois frustrant et une brillante idée que ce grand moment de frisson se déroule sur la dernière page, à quelques lignes de la fin.
Dix ans de moins sur le dos, j’aurais sans doute voulu connaître la suite. Malheureusement aujourd’hui, la curiosité ne me tiraille pas, le dénouement me laisse de marbre… Je ne suis tout simplement pas faites pour les sagas. Et vous ?
J’ai l’impression que dans le registre Young Adult, on est servi au revu, et encore du revu.
Quand aurons-nous du nouveau au menu ?
Mais pourquoi changer une équipe qui gagne, me direz-vous ? Vous avez probablement raison. Ce n’est pas au menu de changer, mais plutôt à moi de changer de restaurant !
Après tout, c’est vrai ! On a de la romance qui pointe très vite le bout de son nez, une héroïne prise rapidement dans les engrenages d’un conflit d’intérêts où elle doit protéger la Reine Rebelle, accessoirement sauver sa propre vie et celle de Pipp (mon personnage préféré, dommage qu’il soit moins présent dans les tomes suivants sinon, rien que pour lui, j’aurais poursuivi l’aventure) avec des épreuves (bien que non spectaculaires) meurtrières ! Mais où elle s’en sort admirablement bien. Très vite on comprend que quoi qu’il arrive, aussi pénibles soient ces supplices, elle s’en sortira. Attendez, on parle de l’héroïne en même temps. Logique, non !? C’est sûr, c’est plus pratique.
On a un héro qui tombe littéralement sous son charme dès la première rencontre et cela en dépit de la froideur, des piques, de la rancœur, de l’épaisseur de ses ambitions secrètes et du rejet de notre héroïne contre toutes ses intentions. Tel est le sempiternel mantra de la romance prévu à un public adolescent : «Plus elle lui résiste, plus il la désire». Un vrai coup gagnant dans la catégorie mi-lourd ! (Mais qui visiblement ne me fait plus le même effet que dans ma nostalgique jeunesse…) Forcément, il est beau, il est fort, toujours attentionné, jamais blasé, et cache de nombreux secrets qui, je vous rassure, seront révélés à la fin de ce premier tome.
À cela, rajoutez des passages tirés en longueur qui m’ont trop souvent fait lever le nez à la recherche d’oxygène. Quand l’intrigue n’arrive pas à m’accrocher, ce n’est jamais bon présage. Allez savoir ? Peut-être que je souffre de troubles de l’attention…
Les indices disséminés tout du long du récit étaient pour la plupart cruellement prévisibles… et parfaitement intentionnels de la part de l’autrice. En effet, quoi de mieux que de placer des «évidences» pour cacher des informations bien plus subtiles ?! Eh oui, certaines révélations se sont avérées incongrues et aussi percutantes qu’un uppercut ! C’était à la fois frustrant et une brillante idée que ce grand moment de frisson se déroule sur la dernière page, à quelques lignes de la fin.
Dix ans de moins sur le dos, j’aurais sans doute voulu connaître la suite. Malheureusement aujourd’hui, la curiosité ne me tiraille pas, le dénouement me laisse de marbre… Je ne suis tout simplement pas faites pour les sagas. Et vous ?
Et voila, c’est la fin. Je suis tellement triste d’avoir finis cette trilogie et de devoir quitter cet univers, et surtout ses personnages.
💍
C’était encore une fois terriblement prenant, je n’ai pas pu lâcher le livre et l’ai finis beaucoup trop vite à mon goût. Au début, tout s’enchaîne assez vite. Au milieu il y a une petite pause, elle sert de théâtre à l’évolution de la relation Kiva-Jaren, mais leur quête à travers tout le royaume apporte de l’action. Et enfin, on a le final, la bataille. Je ne me suis donc pas ennuyée une seule seconde.
💍
Dans ce tome, Kiva va essayer de se faire pardonner. Il y avait tellement de scènes touchantes. Tipp est encore une fois tellement mignon, et Caldon est toujours aussi incroyable. La complicité entre Jaren et Kiva m’a tellement manqué, lui d’habitude si gentil et attentionné avec Kiva, je ne le reconnaissais plus. On découvre aussi de nouveaux personnages, que j’ai adoré. Mais j’aurai bien aimé aussi revoir certains personnages qui sont très peu présents dans ce tome.
💍
La confrontation finale de Kiva avec sa sœur je l’attendais tellement. Cette fin est peut-être un petit peu facile, et rapide (je trouve toujours les combats de fin trop courts) mais je l’ai beaucoup aimée. Certains vont probablement la trouver frustrante (à certains points de vue), mais personnellement je trouve que c’est une bonne fin.
💍
Encore une fois je n’en dis pas trop (pourtant ce n’est pas l’envie qui manque), et je vous laisse aller découvrir par vous-mêmes cette merveille. C’est avec tristesse que j’ai refermé mon livre, mais la trilogie de The Prison Healer s’est définitivement rangée parmi mes préférées.
💍
C’était encore une fois terriblement prenant, je n’ai pas pu lâcher le livre et l’ai finis beaucoup trop vite à mon goût. Au début, tout s’enchaîne assez vite. Au milieu il y a une petite pause, elle sert de théâtre à l’évolution de la relation Kiva-Jaren, mais leur quête à travers tout le royaume apporte de l’action. Et enfin, on a le final, la bataille. Je ne me suis donc pas ennuyée une seule seconde.
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Dans ce tome, Kiva va essayer de se faire pardonner. Il y avait tellement de scènes touchantes. Tipp est encore une fois tellement mignon, et Caldon est toujours aussi incroyable. La complicité entre Jaren et Kiva m’a tellement manqué, lui d’habitude si gentil et attentionné avec Kiva, je ne le reconnaissais plus. On découvre aussi de nouveaux personnages, que j’ai adoré. Mais j’aurai bien aimé aussi revoir certains personnages qui sont très peu présents dans ce tome.
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La confrontation finale de Kiva avec sa sœur je l’attendais tellement. Cette fin est peut-être un petit peu facile, et rapide (je trouve toujours les combats de fin trop courts) mais je l’ai beaucoup aimée. Certains vont probablement la trouver frustrante (à certains points de vue), mais personnellement je trouve que c’est une bonne fin.
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Encore une fois je n’en dis pas trop (pourtant ce n’est pas l’envie qui manque), et je vous laisse aller découvrir par vous-mêmes cette merveille. C’est avec tristesse que j’ai refermé mon livre, mais la trilogie de The Prison Healer s’est définitivement rangée parmi mes préférées.
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