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Edgar Allan Poe fait partie de ces auteurs, ces poètes, qu’il faut avoir lu au moins une fois dans sa vie. Tomber sur ce recueil dans de vieux cartons fut donc le parfait moment pour m’y lancer.



J’avais déjà étudié « Le Chat noir » et « La Chute de la Maison Usher » il y a plusieurs années de cela et je m’attendais donc à lire des nouvelles dans le même style. Ce fut le cas, du moins, en partie. J’ai bien retrouvé cette atmosphère dans « Le Cœur révélateur », « Le Masque de la Mort Rouge », « Le Roi Peste », « Le Portrait ovale » (nouvelles que j’ai d’ailleurs fortement appréciées) ainsi que dans « William Wilson », « L’Homme des foules », « Le Diable dans le beffroi » et « Petite discussion avec une momie » (bien que dans une moindre mesure, d’une manière un peu différente) mais d’autres nouvelles comme « Le Démon de la Perversité », « Lionnerie », « Puissance de la parole », « Colloque entre Monos et Una » et « Conversation d’Eiros avec Charmion » m’ont franchement laissé de marbre. Je les ai trouvées longues et ennuyeuses, sans grand intérêt et j’ai dû me faire violence pour ne pas sauter des pages et passer à la nouvelle suivante.



J’ai également trouvé que certaines nouvelles se ressemblaient un peu trop. J’ai eu à plusieurs reprises l’impression de lire quelque chose que j’avais déjà lu, un peu comme un sentiment de déjà vu. Le style d’écriture m’a paru quelques fois un peu lourd et répétitif (mais bon, qui suis-je pour critiquer la plume d’un des auteurs les plus connus?).



Bref, un ressenti global plutôt mitigé. J’ai adoré certaines nouvelles quand d’autres m’ont laissé perplexe.

You are not stronger as a group. The smart turns to the average in a group. It explains lots of things. The protests, the riots, the religions. the courts. The humans are so easy to be influenced and hinted. In group, there is no rationals. The book does not offer the solution for the dictatorship of the mob. Between one lead voice and all distator and group democracy, the relatively better is democracy. but how can we avoid the emotional, destructive, violent, stupid angry mob? The education to improve the quality of average people and small groups and avoid big messes.

Ce livre est un ouvrage de référence quand on étudie la psychologie mais en tant qu'oeuvre appartenant à l'histoire de la discipline.

Récemment, je l'ai revu conseillé dans plusieurs livres récents de marketing et j'ai voulu le livre. Il a un intérêt historique parce qu'il peut marquer un début de la psychologie sociale, mais c'est comme Freud, faut plus s'appuyer dessus depuis longtemps: c'est complètement éculé.



Ce qui m'étonne c'est qu'on en parle encore comme d'une référence (pas des les milieux universitaires de psycho, mais le grand public ou les commerciaux) parce qu'il est devenu très très mauvais! le Bon considère que son bon sens et ses jolies phrases sont des preuves, il mentionne des races plus primitives (latines) qui sont plus proches des femmes et des enfants, proches des pulsions, des émotions, etc. Il nous joue la carte du catastrophisme de l'époque, etc.

Le livre date de 1895, et hors études historiques sur l'évolution de la discipline, il n'a aucun intérêt.



Sérieusement si les sujets des sciences humaines vous intéressent, choisissez plus récent et validés scientifiquement, avec plus de consensus, on trouve facilement et ça sera bien plus profitable! Les sciences humaines sont comme les autres sciences: elles sont sans arrêt remises à jour! On apprend, on corrige, on adapte, ne restons pas coincés dans des visions dépassées d'il y a un siècle et demie.



PS: Lecture interrompue, malgré la faible taille du livre, je n'ai pas souhaité poursuivre, je n'y ai vraiment rien trouvé d'intéressant malgré mes efforts.