Harpertorch [corriger]

J’aime beaucoup les écrits de Neil Gaiman et c’est donc tout naturellement que je me suis dirigée vers celui ci.

On est ici quelques jours avant la fin du monde et nous suivons un ange et un démon, jusque là tout allait bien

Mais j’ai trouvé que la lenteur du texte ainsi que les nombreux personnages m’ont complètement perdu et je ne suis pas sure d’avoir tout compris.

En revanche j’ai beaucoup apprécié les divers messages de tolérance ainsi que l’humour présents dans le livre.

Pour résumé c’était une petite piquette de mon côté

Tout d'abord, je dois préciser que j'ai regardé la série (les deux premières saisons sorties à l'heure où j'écris) avant de lire le livre.

J'ai tellement adoré la série que j'ai voulu me lancer dans la lecture du livre qui en était à l'origine ! (Neil Gaiman, co-auteur, est le scénariste de la série).



Du coup pour ceux qui auraient regardé la série aussi, la saison 1 est l'adaptation directe du roman.



Mais revenons au livre !



Dès le début, j'ai plongé tête la première dedans grâce à un style vivant et un humour drôle, décalé et acerbe (qui a été conservé dans la série, Dieu merci !)



Malheureusement, j'ai vite été un peu déçue. Aziraphale et Rampa ne sont pas beaucoup présents et leur relation peu exploitée. Il y a beaucoup de personnages à suivre et dans le livre je ne les ai pas trouvé très bien développés ni très bien caractérisés alors qu'il y avait matière à faire (je pouvais au moins me les représenter grâce à la série). Concernant la fin, j'ai trouvé la série bien plus claire car je n'ai pas vraiment compris ce qu'il se passe dans le livre, c'est balayé et hop fini !



Pour conclure, oui j'ai sûrement été biaisée par mon visionnage de la série, mais j'ai préféré celle-ci au roman ; je suis tout de même contente de constater qu'elle en est une très bonne adaptation, et qu'elle est même plus riche. Mais je ne regrette pas d'avoir lu le livre !



Et puisqu'on est dans les adaptations de Neil Gaiman en série, récemment j'ai regardé The Sandman : il ne me reste plus qu'à lire les romans graphiques !

J’ai été un peu déroutée à la lecture de ce livre autobiographique dont le thème central parle de la passion obsessionnelle d’un écrivain célèbre pour sa femme, Esther, correspondante de guerre, qui a tout quitté sans un mot d’explication, pour partir vivre dans un petit village au fin fond de l’Asie centrale, au Kazakhstan. Hanté par la disparition subite de son égérie, son Zahir, le mari va bouleverser son existence pour partir à sa recherche.



Au moyen de ce roman-récit, Paulo Coelho nous fait part de ses réflexions philosophiques autour de la vie de couple, des sentiments amoureux, du bonheur, de la liberté et d’autres thèmes spirituels, voire ésotériques, qu’il affectionne particulièrement et que l’on retrouve dans ses autres ouvrages. En dépit de quelques longueurs, le déroulé de l’histoire se tient et se lit facilement. Cependant, j’ai été un peu déçue par le peu de place et de temps que l’auteur accorde aux retrouvailles du couple qui intervient seulement dans les deux dernières pages du livre. L’épilogue est assez surprenant…