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La Belle et le Clochard

[édition Disney Calin] J’ai adoré retrouver l’univers et mon personnage Disney préféré (le Clochard). La douceur des graphismes est appréciable tout comme le fait d’avoir réussi à faire transmettre des émotions à ces animaux. Je trouve cette histoire et ses héros très attachants. Je ne m’en lasse pas.

Je suis toutefois frustrée que l’histoire soit à ce point tronquée.

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Vingt mille lieues sous les mers

Parfois, il vaut mieux laisser les vieilles choses dans la cave. Avec le temps, on a compris ce qui maintient le suspense et ce qui permet aux jeunes d'aimer la lecture. Avec ce roman, dont la réputation n'est pourtant plus à faire, il vaut mieux s'accrocher pour aller au bout. Les détails sont assommants. Le récit est d'une lourdeur incommensurable et il est difficile d'adhérer aux idées colonialistes et au vocabulaire discutable ("nègre") de l'époque. Les multiples adaptations de cette histoire permettent de garder l'essentiel, c'est-à-dire la fascination pour le génie du capitaine Nemo et les prouesses technologiques de son navire le Nautilus. Pour le reste, on peut aisément l'oublier.
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Notre-Dame de Paris

Note pour moi-même : rédiger une critique sans faire le parallèle entre Esmeralda et mon ex.



Dressons l’inventaire selon mon ordre de préférence. Le personnage le plus intéressant de cette histoire est le « poète », Pierre Gringoire. Il est nonchalant, philosophe, un peu lâche, assez lucide pour s’écarter de l’intrigue lorsque les choses prennent une mauvaise tournure. C’est qu’il tient à la vie, il aime l’architecture, le théâtre, la kasteel red en terrasse et les highlights de Neymar à Santos. Fermons les yeux sur sa relation presque malsaine avec la chèvre. Claude Frollo, le prêtre, arrive en seconde position. Hugo le veut érudit, passionné (un peu trop), contraint de devenir archidiacre pour subvenir aux besoins de son frère. Il mène une vie simple, somme toute heureuse jusqu’à l’apparition de la Esmeralda. C’est drôle, cela me fait penser à… Non, je dois résister. Le capitaine Phoebus qui, si l’histoire était contemporaine serait quarterback ou harceleur. Puis Quasimodo, le mythe, la légende, le bien dépourvu du beau. Enfin, je n’ai aucun regret à placer Esmeralda en bas de cette liste tant ses décisions (et celle de sa mère) sont absurdes à la fin du roman. Mise à part son geste de compassion au moment du supplice de Quasimodo, l’égyptienne n’est pas un personnage féminin marquant. Typiquement le genre de personne à repousser le 4/10 que je suis en prétextant être sapiosexuelle. J’en conclus donc que je ne suis ni beau ni intelligeant ? Bah remettez-moi une kasteel en 50. « Enfin la nuit vint ; une nuit sans lune, une nuit obscure. »

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