Nous ne pouvons pas nous désaltérer uniquement avec les pensées qui jaillissent du roc de leurs paroles. Seules des paroles qui ne disconviennent pas en présence d'un mourant, seules des pensées qui ne palissent pas en face du soleil levant ou au cœur d'un tremblement de terre-"Dieu est Un..." ou:"Saint, Saint, Saint est le Seigneur des Cohortes Célestes..."- peuvent être utilisées comme métaphores pour parler de Dieu.
Le droit d'interpréter n'est accordé qu'à celui qui se couvre le visage, à celui qui, quand la vision lui est imposée dit: "Je suis perdu[...] parce que mes yeux ont vu le Roi."