Les voyous les plus abrutis (c’est un pléonasme) ne se risquent jamais à faire du schpountz au « Cercle » et aux établissements qu’il contrôle.
À trente ans, comme tous ceux qui vivent devant une machine à écrire en dépouillant des dépêches emmerdantes et en conservant une bouteille de scotch dans leur tiroir, j’avais tendance à m’empâter mais on ne peut pas tout avoir, la considération et la forme.
On ne parle pas de corde dans la maison d’un pendu.
C’est sans doute parce que tout cela s’est passé en automne que maintenant, en y songeant, on trouve dans nos mémoires comme une douceur de feuilles mortes, de veillées aux châtaignes et de larges allées herbeuses qui semblent mener vers l’infini.