Dans ce récit inédit d'
Olivier Adam, on y retrouve toute la dureté des thèmes qui jalonnent ses romans précédents. C'est une histoire assez sombre certes, mais profondément belle. A la lecture, on se sent comme partager entre une infinie tristesse et une douceur apaisante. le texte est alors en parfait accord avec ce sentiment de quiétude et de trouble qui se dégage des photographies d'
Arnaud Auzouy. Ces dernières sont pour moi absolument sublimes. Elles sont tout à la fois délicates et très évocatrices. A mon sens,
Kyoto Limited Express est un monologue intérieur réussi : une alliance poétique tout en émotion bercée entre la beauté des mots et des images.
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