>
Critique de Cer45Rt
Il m'a fallu un certain temps, pour comprendre, ce qui m'avait plu, dans "Moi, Simon, 16 ans, Homo sapiens". C'est, que c'est un roman, qui a l'air en tous points banal ; ni l'histoire, ni le style d'écriture, ni les personnages, ne semblent a priori particulièrement extraordinaires ; tout le roman, pourrait sembler banal.
Pourtant, "Moi, Simon, 16 ans, Homo sapiens", a quelque chose, que d'autres romans, n'ont pas, à mon sens ; il est sincère, vrai. Je me suis attaché aisément, au personnage principal, et à son mystérieux correspondant et à leur belle histoire d'amour... Si je m'y suis attaché, c'est tout bonnement, parce que l'auteure, ne verse jamais dans le pathos excessif, et livre quelque chose, qui m'a semblé sonné juste, vrai, qui ne m'a pas semblé être artificiel-comme bien trop de romans, du même type, ce me semble. Certes, ce n'est pas exceptionnellement bien écrit et ce n'est pas très recherché, mais je pardonne tous ses défauts, à l'auteure, Becky Albertalli, car, elle est parvenue, à me donner l'illusion de sentiments vrais, sans jamais sombrer dans les excès, dans lesquels trop sombrent, sans pathos et sans sensiblerie. Et je crois que c'est suffisamment rare, pour qu'on salue cela.
Pourtant, "Moi, Simon, 16 ans, Homo sapiens", a quelque chose, que d'autres romans, n'ont pas, à mon sens ; il est sincère, vrai. Je me suis attaché aisément, au personnage principal, et à son mystérieux correspondant et à leur belle histoire d'amour... Si je m'y suis attaché, c'est tout bonnement, parce que l'auteure, ne verse jamais dans le pathos excessif, et livre quelque chose, qui m'a semblé sonné juste, vrai, qui ne m'a pas semblé être artificiel-comme bien trop de romans, du même type, ce me semble. Certes, ce n'est pas exceptionnellement bien écrit et ce n'est pas très recherché, mais je pardonne tous ses défauts, à l'auteure, Becky Albertalli, car, elle est parvenue, à me donner l'illusion de sentiments vrais, sans jamais sombrer dans les excès, dans lesquels trop sombrent, sans pathos et sans sensiblerie. Et je crois que c'est suffisamment rare, pour qu'on salue cela.
