Il savait que même s'il absentait, ils ne la toucheraient jamais, conscients qu'elle lui appartenait désormais. Ce qui appartenait à un indien courageux, aucun autre ne pouvait le désirer, même s'il savait que parfois les choses changeaient.
C’était une puissance écrasante qu’il avait eu sur elle. Elle savait que ce qui lui arrivait était prédestiné, qu'il n'y avait rien qui pourrait l’arrêter, et qu'elle ne le voulait surtout pas que cela s'arrête jamais.
Tout en elle était parfait. Ses hanches étaient parfaitement rondes, parfaites pour procréer. Ses seins, avec leurs tétons roses, attisaient son regard et son sexe était aussi séduisant, avec sa forme de cœur parfait.
Elle aimait sentir ses mains sur sa peau. Elle aimait la force qui se dégageait de son corps, de ses parties les plus intimes. Elle adorait la façon dont il la regardait, semblant la trouver belle dans le fond de ses yeux. Dans son esprit, il lui faisait se sentir plus femme que n'importe qui dans son monde ne l'avait jamais fait. Elle était captivée par ces émotions. Ces nouveaux sentiments étaient merveilleux, et, sous sa douce direction, elle avait l’impression de se métamorphoser d'une chenille en un beau papillon.
Après tout, le corps devait être admiré et être contemplé dans son état premier. Comment pouvait-on regarder un corps de femme s'il était tout recouvert de jupes lourdes et de vêtements boutonnés jusqu'au cou? Il ne voyait pas comment ils pouvaient le supporter pendant les mois chauds, étant plus habitué à s'habiller en peaux d'animaux. Bien sûr, en hiver, il s'habillait plus chaudement, mais pas comme l'homme blanc le faisait.