Il n'est pas d’œuvres dans l'histoire de l'art - et ni Bosch ni Goya eux-mêmes ne font ici exception - qui ne soient plus éloignées de la fonction décorative de l’œuvre d'art que celles de Grosz. Ce sont des "anti-images". Leur ambition n'est pas de dériver dans la grisaille du quotidien, telle des îles bienheureuse de la "belle apparence", mais, à l'inverse, d'en perturber la splendeur fictive ou l'indolence, à la manière de vérités insulaires (abominables du reste).