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Critique de EmmanuelleCarpenter
Été 1965. Shell est un adolescent simple d'esprit. Il vit avec ses parents qui tiennent une station-service perdue au milieu de nulle part où il s'occupe à des tâches simples et répétitives.
Il n'est plus admis à l'école et comprend que ses parents veulent l'envoyer loin.
Pour prouver qu'il est un homme, il prend le fusil de son père et part à la guerre en escaladant la montagne derrière chez lui.
Sur le plateau, il rencontre Viviane, une « reine », sa première amie, qui lui créera un univers auquel, lui, l'attardé, croira dur comme fer.
J'ai un sentiment étrange en sortant de ce livre : je l'ai dévoré mais je ne l'ai pas aimé. L'écriture est magnifique mais le monologue naïf de Shell est lassant, l'histoire peu crédible et trop simpliste pour en faire un roman intéressant.
Ça ne m'empêchera pas de retrouver, à l'occasion, la plume attachante de Jean-Baptiste Andréa.
Lien : https://carpentersracontent...
Il n'est plus admis à l'école et comprend que ses parents veulent l'envoyer loin.
Pour prouver qu'il est un homme, il prend le fusil de son père et part à la guerre en escaladant la montagne derrière chez lui.
Sur le plateau, il rencontre Viviane, une « reine », sa première amie, qui lui créera un univers auquel, lui, l'attardé, croira dur comme fer.
J'ai un sentiment étrange en sortant de ce livre : je l'ai dévoré mais je ne l'ai pas aimé. L'écriture est magnifique mais le monologue naïf de Shell est lassant, l'histoire peu crédible et trop simpliste pour en faire un roman intéressant.
Ça ne m'empêchera pas de retrouver, à l'occasion, la plume attachante de Jean-Baptiste Andréa.
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