Chacun a ses zones d'ombre, chacun peut déraper: derrière la façade que nous offrons à tous, nous cachons souvent des âmes torturées, pleines de récriminations et de mal-être. (p 63)
« Vivre dans un immeuble où l’on est obligé de fréquenter des gens avec qui on n’a pas choisi de vivre entraîne ses joies et ses peines. C’est vrai qu’on peut s’y créer des amis, mais il faut également y subir les humeurs et les lubies des autres. »