Aladdin, Ali Baba, le tapis volant... tous ces éléments mythiques des Mille et une nuits que l'on a tous en tête sans en connaître forcément la "vraie" version se retrouvent dans ce troisième et dernier tome (en ce qui concerne l'édition moderne).
Si j'ai eu un peu de mal à rentrer dans cet univers bien particulier, avec son merveilleux et ses invraisemblables coïncidences, j'ai ensuite été, à l'image du sultan à qui Scheherazade raconte ces histoires, entraînée par ces récits empreints d'imaginaire perse et par le style d'
Antoine Galland (qui les a traduits et adaptés en français au XVIIIe siècle) : on veut savoir la suite, et on a toujours envie de lire le récit suivant ! Les contes ont tous leur part d'originalité malgré leur grand nombre (même s'il n'y en a pas 1001 !) et nous font encore rêver, des siècles après leur invention...
Une belle découverte !
Commenter  J’apprécie         40