Ils veulent croire plutôt que savoir. Ils veulent qu’on les décharge de la difficulté de trouver du sens par eux-mêmes, de chercher leurs réponses, d’aborder la réalité sans qu’elle soit liquéfiée, édulcorée, réduite à quelques évidences insensées.
(p. 333)
On a beau avoir rencontré la beauté mille fois, on la redécouvre sans cesse.
(p.11)
Les glaciers fondent, les têtes volent, près de vingt pour cent de la planète meurt de faim, tandis que les autres meurent d’obésité tout en cultivant des toits verts… Je ne sais pas si c’est l’âge, mais jamais de ma vie je n’ai été aussi désespérée par l’état du monde.
(p. 193)