Citations sur Les enquêtes du boyard Artem, tome 4 : La nuit des ondi.. (6)
Les innocents n'étaient pas insoupçonnables, la recherche de la vérité pouvait conduire à des méprises.
Dieu n’a pas oublié les siens, il a permis à un orphelin de connaître la tendresse maternelle. Ce n’est pas l’héritage qui pourra consoler Iann.
Quoi de plus naturel qu'un jeune garçon épris d'une jolie fille ? Comment imaginer sous ses apparences rassurantes les démons qui le tourmentaient, et qui gouvernaient en réalité son être ?
La sensibilité est l'ennemie de la prudence.
Les ondines sont très méchantes en ce moment. Gare aux malheureux qui s’égarent près du fleuve ! Elles peuvent les chatouiller à mort et les entraîner au fond de l’eau.
Il pensa à la femme allongée sur le lit. Une colère violente l’envahit. Celle qu’il avait adorée s’était révélée une vulgaire catin ! Elle l’avait trompé, s’était moquée de sa confiance, avait profané la pureté de son sentiment.
La perfide créature avait bien caché son jeu ! Il n’avait rien soupçonné jusqu’à cette nuit ; il était venu au rendez-vous sans se méfier. Même quand il avait vu l’autre homme sortir de la maison, il n’avait pas deviné l’abjecte verité.