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Critique de sweetie


Margaret Atwood s'est essayée à l'humour avec cette dystopie mais a raté son coup avec moi. Comment dire? Une farce grotesque, assaisonnée de blagues salaces de mauvais goût, aux dialogues insipides me rappelant ceux de L'Affaire Harry Québert, des personnages sans profondeur et un récit qui frôle l'inanité.
Pourtant, le début était prometteur avec ce couple, Stan et Charmaine, obligés de vivre dans leur voiture à la suite de complications financières et professionnelles. Désireux d'améliorer leur sort, ils intègrent un concept novateur de ville autosuffisante (Consilience) basée sur l'alternance de courts séjours en prison (Positron) et la pratique d'un boulot dans la vie quotidienne, mais sans possibilité de communication avec le monde extérieur. le slogan dit tout : Condamnés + Résilience = Consilience. Un séjour en prison aujourd'hui, c'est votre avenir garanti.
Un thème qui aurait pu lever, d'autant plus que Margaret Atwood est aguerrie dans ce genre de littérature. Je n'y ai pas reconnu sa plume inspirée, à tel point que je me suis demandé si un autre avait écrit ce nanar à sa place. Déception + Grande attente = 1 étoile.
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