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Critique de janessane
L'univers de Margaret Atwood, je l'ai découvert avec "La servante écarlate" et prolongé avec la sublime série "The handmaid's tale". Dire que je suis véritablement fan du livre et de la série relève de l'euphémisme.
C'est donc avec ce même élan que je me suis plongée dans ces "Neufs contes". Malheureusement, cet élan a été vite freiné. J'ai peiné à aller jusqu'au bout. Même si je dois reconnaître l'univers particulièrement riche de la dame, j'ai souvent été déconcertée par le contenu de ces histoires et surtout par le fait que , presque à chaque fois, la fin soit terriblement trop ouverte. Et si ce procédé marche très bien avec bon nombre de lecteurs, il est pour moi rédhibitoire. Il s'agit donc ici clairement d'une histoire de goût.
Passons tout de même au point positif (parce qu'il y en a) : les trois premiers contes se suivent avec des personnages récurrents et cela a un certain attrait car c'est relativement inattendu et cela nous permet de voir les personnages sous un autre angle.
Le thème récurrent de la vieillesse et de ce qui nous reste au bout de ce long chemin est habilement traité. le dernier conte a particulièrement retenu mon attention, peut-être parce qu'il s'inscrit plus dans l'univers de la dystopie et que j'y ai aussi retrouvé ce que j'ai aimé dans La servante écarlate.
Bref, un avis très mitigé pour moi à l'issue de cette lecture. Sur les neuf contes, un tiers a retenu mon attention.
Toutefois, je ne m'avoue pas vaincue. Ma prochaine lecture? "C'est le coeur qui lâche en dernier". de qui ? Margaret Atwood , bien entendu
C'est donc avec ce même élan que je me suis plongée dans ces "Neufs contes". Malheureusement, cet élan a été vite freiné. J'ai peiné à aller jusqu'au bout. Même si je dois reconnaître l'univers particulièrement riche de la dame, j'ai souvent été déconcertée par le contenu de ces histoires et surtout par le fait que , presque à chaque fois, la fin soit terriblement trop ouverte. Et si ce procédé marche très bien avec bon nombre de lecteurs, il est pour moi rédhibitoire. Il s'agit donc ici clairement d'une histoire de goût.
Passons tout de même au point positif (parce qu'il y en a) : les trois premiers contes se suivent avec des personnages récurrents et cela a un certain attrait car c'est relativement inattendu et cela nous permet de voir les personnages sous un autre angle.
Le thème récurrent de la vieillesse et de ce qui nous reste au bout de ce long chemin est habilement traité. le dernier conte a particulièrement retenu mon attention, peut-être parce qu'il s'inscrit plus dans l'univers de la dystopie et que j'y ai aussi retrouvé ce que j'ai aimé dans La servante écarlate.
Bref, un avis très mitigé pour moi à l'issue de cette lecture. Sur les neuf contes, un tiers a retenu mon attention.
Toutefois, je ne m'avoue pas vaincue. Ma prochaine lecture? "C'est le coeur qui lâche en dernier". de qui ? Margaret Atwood , bien entendu
