écriture nerveuse, on est tout de suite dans l'ambiance, Aubert est assez viscérale dans les descriptions glauques, un peu à la manière de
Masterton. Concernant l'atmosphère et l'histoire on se situe entre
Nuit d'été de
Dan Simmons et "ça" de Stephen king". Une fin de l'enfance brutale dont le seul credo est la survie.
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