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Critique de Yuzel
En lisant la 4e de couverture de ce livre, je me suis dit directement: "Encore un livre pour pleurer". Eh bien, non pas du tout.
Certes, on parle d'un sujet difficile mais on ne ressent pas le poids de ce tabou. Dans cette histoire, on a le point de vue de deux personnages dont la rencontre n'est pas des plus courantes. D'abord Elsa, jeune femme ayant eu un accident d'alpinisme et qui est dans le coma depuis vingt semaines et qui commence peu à peu à reprendre conscience de ce qui l'entoure par son ouïe, le reste de son corps n'ayant pas encore repris ses fonctions. Et ensuite, il y a Thibault, accompagnant sa mère à l'hôpital voir son frère, victime d'un accident de la route, mais également responsable de la mort de deux adolescentes à cause de cet accident. Thibault n'arrive pas à lui pardonner et s'évade en se cachant dans l'hôpital. C'est comme ça qu'un jour, en se trompant de porte, il atterrit dans la chambre d'Elsa. C'est ainsi que début sans que l'un et l'autre ne s'en rendent compte une relation qui leur permettra de se reconstruire.
Effectivement, au premier abord et j'en reste toujours un peu convaincue, c'est un peu tiré par les cheveux. On s'en doute, Thibault se prend d'affection pour Elsa alors qu'il ne la connaît pas et n'est pas prêt à la découvrir. Et pourtant, c'est tout mignon et ça fonctionne relativement bien.
Les personnages sont extrêmement attachants. Elsa qui se bat pour vaincre l'ultimatum qui pèse sur ses épaules, à savoir qu'elle doit se réveiller au risque de tout perdre. Thibault qui est un personnage tellement frais et pétillant. Il m'a énormément plu. C'est un personnage très vrai.
Le style qu'emploie Clélie Avit est assez familier. Cela correspond parfaitement au ton de l'histoire qui se veut léger malgré le sujet quelque peu tabou évoqué dans l'histoire, à savoir quand et comment peut-on prendre la décision de laisser partir quelqu'un dans le coma et aussi que se passe-t-il chez la personne dans le coma.
Mention spéciale à l'utilisation des couleurs dans la façon dont Elsa perçoit son environnement. J'ai beaucoup aimé ce point.
Malgré tout ce qu'il y a de bon à dire sur le livre, je l'ai trouvé un chouia trop court. J'en aurais voulu un peu plus, surtout la fin. J'ai l'impression que c'était un peu précipité.
Certes, on parle d'un sujet difficile mais on ne ressent pas le poids de ce tabou. Dans cette histoire, on a le point de vue de deux personnages dont la rencontre n'est pas des plus courantes. D'abord Elsa, jeune femme ayant eu un accident d'alpinisme et qui est dans le coma depuis vingt semaines et qui commence peu à peu à reprendre conscience de ce qui l'entoure par son ouïe, le reste de son corps n'ayant pas encore repris ses fonctions. Et ensuite, il y a Thibault, accompagnant sa mère à l'hôpital voir son frère, victime d'un accident de la route, mais également responsable de la mort de deux adolescentes à cause de cet accident. Thibault n'arrive pas à lui pardonner et s'évade en se cachant dans l'hôpital. C'est comme ça qu'un jour, en se trompant de porte, il atterrit dans la chambre d'Elsa. C'est ainsi que début sans que l'un et l'autre ne s'en rendent compte une relation qui leur permettra de se reconstruire.
Effectivement, au premier abord et j'en reste toujours un peu convaincue, c'est un peu tiré par les cheveux. On s'en doute, Thibault se prend d'affection pour Elsa alors qu'il ne la connaît pas et n'est pas prêt à la découvrir. Et pourtant, c'est tout mignon et ça fonctionne relativement bien.
Les personnages sont extrêmement attachants. Elsa qui se bat pour vaincre l'ultimatum qui pèse sur ses épaules, à savoir qu'elle doit se réveiller au risque de tout perdre. Thibault qui est un personnage tellement frais et pétillant. Il m'a énormément plu. C'est un personnage très vrai.
Le style qu'emploie Clélie Avit est assez familier. Cela correspond parfaitement au ton de l'histoire qui se veut léger malgré le sujet quelque peu tabou évoqué dans l'histoire, à savoir quand et comment peut-on prendre la décision de laisser partir quelqu'un dans le coma et aussi que se passe-t-il chez la personne dans le coma.
Mention spéciale à l'utilisation des couleurs dans la façon dont Elsa perçoit son environnement. J'ai beaucoup aimé ce point.
Malgré tout ce qu'il y a de bon à dire sur le livre, je l'ai trouvé un chouia trop court. J'en aurais voulu un peu plus, surtout la fin. J'ai l'impression que c'était un peu précipité.
