Lecture scolaire de mon fils. J'ai découvert avec grand plaisir l'humour de
Marcel Aymé qui m'a rappelé un souvenir d'enfance oublié, le film Passe-muraille, avec l'inoubliable Bourvil.
Bref, la dernière nouvelle du recueil
le vin de Paris,
La bonne peinture. Histoire d'un artiste peintre, Lafleur, qui crée malgré lui la peinture nourrissante (au sens littéral). Un délicieux prétexte pour critiquer les critiques d'art avec leurs discours abscons et pour épingler les excès de la grandeur française d'après-guerre. Il s'agit "d'art efficace" et c'est drôle, intemporel. Une seule envie, me plonger dans les autres nouvelles de ce recueil. Et aussi de revoir certains films, même si, dixit mon ado, " ça doit être nul, c'est même pas en couleurs". A voir...
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