Un premier roman qui interroge les lieux de vies et ceux qu'on a quitté, avec nostalgie. L'autrice évoque des souvenirs d'enfance qui lui rappellent la rue des rigoles, une rue parisienne entre barres d'immeubles et pavillons. Elle retrouve ses habitants, s'interrogent sur le prix de l'immobilier, les clichés des cités, les inégalités de modes de vie. Tout cela est évoqué avec douceur et fluidité. Un roman comme le temps qui passe, qui raconte et fait réfléchir. D'une grande sensibilité, l'autrice nous prouve à travers son histoire que les lieux où l'on vit façonnent, construisent l'homme autant que l'homme construit des quartiers. Je recommande.
Petits points négatifs: l'écriture, trop simple, les paragraphes décousus, le propos qui n'est pas assez approfondi.
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