La Peau de chagrin

Encore une fois, ce livre (comme la plupart des livres de cette époque) contient trop de description et trop peu d'action à mon goût. Cet ouvrage, que j'ai dû lire pour le cours de Français m'as donc parut d'un ennuie effroyable. Je suis d'accord que c'est un classique et qu'il faille le connaître mais je n'ai pris aucun plaisir à sa lecture. [Je ne conseille pas] ce livre même si il est incontournable en classe de 1ère.

C'est le roman De Balzac que j'ai le moins aimé (même si je suis une très grande amatrice de cet auteur). Je préfère nettement quand Balzac fait dans le réalisme que dans le fantastique. La peau de chagrin est une histoire de damnation où se côtoient les thèmes de l'argent (thème récurrent De Balzac) et de l'amour. C'est aussi une métaphore de notre espérance de vie qui rétrécit à chaque mauvaise décision. C'est un peu moralisateur et les descriptions sont moins au service du récit que dans ses autres romans. Dommage.

J'avais déjà essayé le père Goriot - enfin un peu contrainte et forcée par les cours - et n'ayant pas vraiment été enthousiasmé, après un dialogue avec une amie j'avais décidé de donner à Balzac une seconde chance.

Mais rien à faire. Sous une autre plume, le récit fantastique aurait pu me plaire, mais la plume De Balzac est bien trop lourde et languissante à mon gout.

Ce n'est pas une aversion chronique à l'encontre des classiques: si Maupassant avait écrit une histoire similaire, sans doute y aurais-je trouvé mon compte. Mais pas avec Balzac.

Peut-être dans une dizaine d'année je redonnerais une chance à cet auteur, qui est une figure de son siècle, mais en attendant je suis passé à autre chose. (dont un objectif de lire l'intégralité des Rougon-Macquart. )

Peut-on faire un parallèle entre la peau de chagrin balzacienne et le Saint Prépuce ?
Voilà une question d'importance, d'autant plus que j'ai lu quelque part que la vocation initiale De Balzac était la philosophie, et qu'il pensait avoir fait oeuvre de philosophe en écrivant ce roman. le petit père Honoré ne doutait de rien ...

Là, je suis désolé, je ne comprends pas: il y a tellement de belles choses chez Balzac, que cette peau de chagrin me laisse parfaitement froid.

Je ne sais pas ce qui m'a pris de choisir ce grand classique du 19ème siècle sur l'étagère d'une librairie le mois dernier. Je me souviens l'avoir lu dans mon adolescence. Il faisait partie du programme scolaire de mon lycée. Toutefois à cette époque, je dois avouer que mon intérêt pour ce type de littérature était très limité (voire inexistant), et que je l'ai donc certainement lu très "en diagonale", avec pour seul objectif de pouvoir répondre aux questions de l'interrogation écrite qui suivait probablement en classe. Qui sait, peut-être ai-je enfin estimé (inconsciemment) qu'il était temps d'accorder à cette oeuvre l'attention qu'elle mérite? En quelques mots, elle raconte l'histoire d'un jeune homme...
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Oh là que j'ai du mal avec ces descriptions à rallonge...
j'ai eu du mal avec le sujet, ce pacte avec le diable, même si la morale d l'histoire est tout à fait louable...
Un autre Balzac, moins monotone, à me proposer ??

L'histoire est bien si on fait abstraction des 2/3 du livre qui ne sont que descriptions de chaque objet du magasin d'antiquaire...

résumé du livre

Raphaël de Valentin, reçoit d'un vieil antiquaire une peau miraculeuse et maléfique : elle satisfait tous ses désirs, mais sa superficie, liée par un charme mystérieux retrecit la duree de vie de son possesseur.


Ce que j'en pense : Trop etendu sur les histoires d'amour , oubliant parfois le sujet principal ...