C'est un conte à ne pas mettre entre toutes les mains, car on y lit des viols conjugaux et de la zoophilie, ainsi que tout un tas d'horreurs innommables.
Je trouve le personnage d'Eugénie très passif et de fait pas très attachant. A la fin, bien sûr, elle aura un sursaut, car il faut qu'elle se libère par elle-même, mais, de fait, ça fait surfait, peu crédible.
Le « personnage » du chien noir Chasseur crée une présence mystérieuse et intéressante.
Barbiche est parfaitement ignoble et en même temps tellement caricatural que, là encore, je n'ai pas réussi à éprouver un sentiment, en l'occurrence de la détestation ou de la haine vu le bonhomme.
Je reconnais que l'autrice a su créer une ambiance sombre et des descriptions qui marient toutes les nuances de noir.
Au final, je n'ai pas été convaincue par ce récit.
Commenter  J’apprécie         50