Ce qui est frappant, c'est encore le côté malheureusement visionnaire avec lequel
Barjavel aborde l'apocalypse écologique (surconsommation d'hydrogène, plus d'oxygène, gros nuages obscurcissant la Terre).
C'est toujours écrit avec talent, on ne s'en lasse pas ; et la part lumineuse de l'Humanité même faiblarde n'est jamais éteinte.
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