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Critique de eco
J'ai un peu été scotché par 'Coldheart Canyon'... Je vous explique… J'étais assez jeune quand j'ai lu 'Imajica', mon 1er Clive Barker et j'avais vraiment apprécié même si pour moi, Barker c'était 'Hellraiser' et donc de l'horreur ce qui n'est pas le cas d'Imajica. Il y a 4 ans, toujours motivé par la recherche d'un bon gros livre d'horreur, je me suis tourné vers "le Royaume des devins" et là j'ai été déçu au point d'abandonner sa lecture.
Qu'il est bête vous entends-je susurrer sous cape.
Vous avez peut-être raison, mais c'est un autre débat…
Et bien sachez, mes biens bons, qu'après avoir lu "Coldheart Canyon", je sais que je vais relire le Royaume des Devins car j'ai enfin percuté que Clive Barker est beaucoup plus qu'un écrivain d'horreur (ouf de soulagement de l'assemblée).
"Coldheart Canyon" est un roman complexe où fantômes et monstres ne sont pas bêtement féroces et méchants. Quant aux personnages humains, ils ne sont pas loin d'être détestables d'arrogance au début du livre et c'est au fil du récit que leur personnalité profonde se dévoile et Clive Barker réussit le tour de force de nous les faire aimer, le chenapan.
On dira donc que c'est un livre fantastique plutôt que d'horreur mais, de nouveau, ce serait ne pas rendre justice à la large palette d'émotion que Clive Barker parvient à jeter sur sa toile, comme disait Spiderman.
Qu'il est bête vous entends-je susurrer sous cape.
Vous avez peut-être raison, mais c'est un autre débat…
Et bien sachez, mes biens bons, qu'après avoir lu "Coldheart Canyon", je sais que je vais relire le Royaume des Devins car j'ai enfin percuté que Clive Barker est beaucoup plus qu'un écrivain d'horreur (ouf de soulagement de l'assemblée).
"Coldheart Canyon" est un roman complexe où fantômes et monstres ne sont pas bêtement féroces et méchants. Quant aux personnages humains, ils ne sont pas loin d'être détestables d'arrogance au début du livre et c'est au fil du récit que leur personnalité profonde se dévoile et Clive Barker réussit le tour de force de nous les faire aimer, le chenapan.
On dira donc que c'est un livre fantastique plutôt que d'horreur mais, de nouveau, ce serait ne pas rendre justice à la large palette d'émotion que Clive Barker parvient à jeter sur sa toile, comme disait Spiderman.
