En vérité, personne ne naît meilleur - ni pire - que les autres. Si on gratte un peu, on est tous pareils. Ce sont les étiquettes que l’on nous colle qui sont au cœur du problème, car elles nous enferment dans une catégorie, elles nous définissent, elles décrètent ce que nous sommes et ce que nous pouvons faire.
La famille n’est pas une question de sang, mais de loyauté et d’amour.
Il paraît qu’il ne faut pas juger les gens sur une première impression, mais je pense que ce n’est pas exact, pas dans mon cas du moins. Je crois que l’on peut juger une personne très vite. Non en fonction de sa couleur de peau ou de ses vêtements, mais à l’éclat de ses yeux, à la façon dont elle sourit, dont elle se tient.
Aimer. Quel drôle de verbe ! On l’utilise pour tout et rien : j’aime le chocolat, j’aime danser, j’aime cette chanson. J’aimerais que tu me rendes visite. Comment un simple verbe peut-il avoir tant d’usages ? Comment ce même et unique mot pourrait-il résumer tout ce que je ressens pour Hoshi, alors que même avec un million de qualificatifs, je ne pourrais jamais l’exprimer ?
Hoshi m’a transformé. Elle m’a rendu meilleur, plus fort, elle m’a permis de me battre pour ce qui est juste, pour la vérité. Grâce à elle, je vois le monde différemment. Elle est une source d’inspiration pour moi. Elle me fascine. Elle me remplit.
Elle est tout pour moi.
Lorsque vous savez que chaque jour a toutes les chances d’être le dernier que vous passerez ensemble, tous les instants deviennent plus intenses, presque sacrés. On n’a plus le temps de faire semblant, de perdre de précieuses secondes.
Un amour qui veut posséder l’autre, le plier à ses désirs, n’a rien à voir avec l’amour, c’est même l’opposé.