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Critique de Mermed


Franz Bartelt fait partie de la cohorte des grands écrivains méconnus – tout du moins du bruissement des modes, des émissions où l'on parle de livres sans le moindre intérêt, mais appartenant à une écurie qui sait vendre les produits qui se situent le plus souvent entre l'extrêment nul et la médiocre banalité...
Pour nous consoler,
pour nous réconcilier avec la littérature,
avec l'humour, l'art de l'observation et l'humain,
prenons un livre de Franz –
n'importe lequel, tout y est bon...
J'ai lu ces jours dix nouvelles publiées sous le titre Je ne suis pas malheureux.
On y rencontre Blanche, qui vit 'à Limoges où une épouse de menuisier ne dispose que d'une liberté surveillée.'
Elle a un fils, Blanche, c'est Joseph, ainsi baptisé 'peut être en référence à Staline à qui les peuples étaient redevables d'une petite paternité.'
Elle est comme toutes les autres femmes de ces nouvelles , 'd'une beauté qui pulvérise l'esprit critique chez la plupart des hommes.'
Toutes ces femmes ont des amants – en plus de leur mari ou de leur soupirant éternel qui, hommes d'une grande largeur d'esprit 'ne tiennent pas rancune aux régions qui ont engendré les amants de leurs femmes'-
On lit et jamais notre désespoir ne 's'empêtrera dans la sentimentalité d'un romantisme analphabète.'
Nous nous réjouirons de lire après toutes les niaiseries de mercantis bouffis de suffisance, la prose aussi splendide que simple de Franz Bartelt.
Lien : http://holophernes.over-blog..
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