Le temps semble constituer dans le monde moderne, la dimension principale par laquelle s’impose l’oppression, parce que, sur la base du salariat et du calcul du temps de travail, se sont développées des conséquences multiples pour des êtres de plus en plus pressés et stressés, soumis à cette “tyrannie des horloges” et à cette compulsion de connaître l’heure qu’il est.