Samuel Hood, aidé de sa fille et d'un de ses disciples décide d'ouvrir une école révolutionnaire au sein de la Nouvelle Angleterre du XIXème siècle. Une école destinée à « modeler » les filles en femmes instruites et capables de réfléchir par elles-mêmes.
La 4ème de couverture laissait penser à un livre dans la veine de ceux de Margareth Atwood mais tel n'a pas été mon ressenti.
Le concept de départ d'un homme décidant d'éduquer des femmes à l'indépendance est déjà dérangeant mais pourrait être le postulat de départ d'un bon livre de science-fiction. Cependant, la suite du roman n'a ni queue ni tête. On y apprend que Samuel a déjà crée une sorte de secte de penseurs précédemment mais que cette tentative à été un échec sans que nous comprenions pourquoi.
Les huit filles de l'école se retrouvent progressivement atteintes de symptômes physiques étranges que personne ne peut expliquer. le patriarcat revient alors en force pour dompter les symptômes et les jeunes filles se retrouvent aux prises avec un médecin abusant d'elles. Même la fille de Samuel se voit contrainte de céder au chantage de ce dernier.
Le sens du roman reste obscur et abscons même une fois terminé.
A part la violence de la misogynie mise en oeuvre sous des concepts prétendument révolutionnaires, on ne saisit pas bien ce qu'à voulu exprimer l'autrice.
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