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1871, Ashwell dans le Massachussetts. Samuel et sa fille Caroline décident d'ouvrir une nouvelle école exclusivement féminine, afin de leur fournir les mêmes enseignements qu'aux garçons. Ils veulent surtout leur apprendre à réfléchir par elles-mêmes. Aussitôt, plusieurs filles s'inscrivent. C'est également le retour d'une espèce d'oiseaux qui semblait avoir disparu. Quelques temps plus tard, les jeunes filles vont commencer à se sentir mal. Que se passe-t-il dans cette école ?

Je ne veux vraiment pas en dire plus sur le synopsis, afin de ne pas vous spoiler un quelconque élément. En tout cas, ce roman est étrange, et c'est un véritable récit d'ambiance que va nous proposer ici l'auteure. Ne lisez donc pas ce roman si vous n'aimez pas les récits qui prennent le temps de s'installer et dans lesquels l'action est très peu présente sous peine de vous retrouver déçus.

Pour ma part, et bien qu'ayant été quelque peu déroutée au départ, j'ai réellement beaucoup aimé cette lecture. L'auteure a su faire monter son suspense par petites touches, et l'ambiance pesante est très bien restituée tout au fil des pages.

Le personnage de Caroline va en quelque sorte porter l'histoire, et j'ai ressenti une véritable évolution de sa part. Si au début elle peut paraître un peu timide et peu sûre d'elle, elle va gagner en assurance et j'aime particulièrement retrouver des personnages qui ne sont pas statiques pendant mes lectures.

La plume de l'auteure est élégante. Avec un style assez descriptif, elle réussit à nous retranscrire toutes les émotions et les resssentis de chacun des personnages. Les chapitres sont de taille moyennne. Après un petit temps d'adaptation, j'ai finalement été conquise par ce roman particulier.

Un roman qui repose totalement sur l'ambiance pesante qu'a su instaurer l'auteure tout au fil des pages. Une lecture qui sort des sentiers battus. À découvrir.
Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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Admettons que ce soit la traduction qui ne soit pas bonne. En effet la lecture bute à plusieurs endroits et l'ensemble du style donne un rendu bâclé difficile à digérer.
Admettons que Les Presses de la Cité continuent de faire un travail d'édition en se disant que ses produits seront bien assez bons pour des lecteurs de maisons de la presse, public pas trop difficile et ne nécessitant pas trop d'exigence.
Admettons que Clare BEAMS se soit contentée de quelques cours "tendance" des écoles d'écriture états-uniennes pour penser qu'entreprendre un roman après un entrainement sur quelques nouvelles puisse suffire pour vendre et en tirer une conclusion auto satisfaisante.
Mais quand même, c'est bien dommage d'avoir gaspillé quelques bonnes idées et des essais d'esquisses pour se moquer de lecteurs qui auraient aimé passer leur temps avec un auteur, une maison d'édition et une traductrice qui les respectent.
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Etats-Unis, 19eme siècle. Samuel Hood est un intellectuel qui n'a qu'un rêve, former les pensées des jeunes élèves. Il a déjà échoué une fois, des années en arrière, avec une école qui fut un désastre. Des années plus tard, il demande à sa fille Caroline et à David, un jeune scientifique, de renouveler l'expérience avec une école pour jeunes filles. Il veut éduquer leur esprit comme on le fait pour les garçons. L'école démarre avec huit élèves, les résultats semblent vite être là. L'école s'appelle l'école des Coeurs Palpitants, du nom des drôles d'oiseaux rouges qui rodent autour de l'école....Après quelques mois, les jeunes femmes commencent à développer d'étranges symptômes...Le groupe semble atteint et les professeurs doivent faire des choix...
Je ne sais pas si j'ai très bien résumé cet étrange livre. Je ne sais pas si il se résume bien. Ce n'est pas qu'une intrigue. C'est surtout une ambiance que l'auteur arrive à installer, une tension qu'elle fait monter au fur et à mesure, et le personnage de Caroline est le parfait thermomètre de cette ambiance. Elle interroge le lecteur de la même façon que lui s'interroge...
J'ai lu des critiques négatives sur la traduction de ce livre....Pour ma part je n'ai rien à redire, j'ai été ferré et happée d'un bout à l'autre, totalement hypnotisée par cette ambiance pesante que l'auteur installe...J'ai trouvé beaucoup de qualité à ce livre qui est tout sauf un roman de gare...Je ne manquerai pas de suivre cettte autrice...
Merci à Netgalley et Presses de la Cité pour cette lecture.
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Petite Nouveauté de la rentrée littéraire et belle de découverte pour moi de l'école aux oiseaux de Clare Beams Chez presses de la cité

Un roman intrigant a l'ambiance menaçante.

Nouvelle-Angleterre du XIXe siècle, Samuel Hood philosophe et essayiste visionnaire et son disciple David Moore souhaitent créer une école pour fille dans sa ferme isolé
Du jamais vu à cette époque, une école pour Modeler des filles en femmes capables de devenir la meilleure version, une nouvelle génération de femmes instruites et capables de réfléchir par elles-mêmes.
Mais Caroline, sa propre fille qui a reçu cette éducation non conventionnelle, a des doutes sur ce nouvel enseignement. Pourtant, il lui sera confié d'enseigner la littérature aux huit adolescentes.
Les jeunes filles commencent à manifester des symptômes, leurs comportements deviennent vite étranges.
Une tension règne au sein de l'établissement, en outre ses oiseaux rouges inhabituels, à la conduite mystérieuse de mauvais augure, surnommé les coeurs palpitants qui envahissant peu à peu la campagne environnante.
Alors que son père et David continuent de lui dicter leurs règles, Caroline devra les défier pour se sauver et sauver ses jeunes protégées.

Un roman fluide, partager en cours, chapitre qui rend la lecture très agréable.
Mais avant tout parlons de l'atmosphère qui se dégage de cette lecture, une tension s'installe rapidement, j'ai ressenti ce malaise qui s'infiltre tout au long de la lecture.
Comme un étau qui se referme sur nous. Un sentiment de mal-être. Des personnages énigmatiques, vraiment détaillés. Un médecin qui utilisera des méthodes contestables, violente au moment de la tentative de guérison qui m'ont mis hors de moi. J'ai trouvé quelques longueurs et la fin peu être pas assez abouti. Pour un tout premier livre, je trouve que c'est remarquable, une autrice à suivre par la suite.
Un livre qui dénonce tous ces abus du patriarcat dans cette société du 19ᵉ siècle.

Si vous aimez les histoires à huis clos, ce livre est pour vous !






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Un premier roman très original digne de ceux de Margaret Atwood ou d'Octavia Butler !

"L'école aux oiseaux" (dont le titre original est "The illness lesson") est un roman qui traite du thème du féminisme se heurtant à l'ordre patriarcal dans la Nouvelle-Angleterre du 19ème siècle. Je remercie les éditions @pressesdelacité et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de le découvrir.

La scène s'ouvre en 1871, à Ashwell dans le Massachusets, Samuel Wood, philosophe et essayiste visionnaire, souhaite créer une école de filles adolescentes dans sa ferme isolée avec l'aide de son disciple, David Moore et de sa fille, Caroline âgée de 29 ans. Son but est de forger une nouvelle génération de femmes instruites, capables de réfléchir par elles-mêmes.

Cette idée est assez révolutionnaire pour l'époque. Même Caroline, qui a reçu cette éducation non conventionnelle, se demande si elle est vraiment bénéfique car elle semble l'avoir laissée en marge de la société. Elle accepte cependant de suivre son père dans cette expérience en enseignant la littérature à huit adolescentes. Mais, bientôt celles-ci manifestent d'étranges symptômes...

Un mal mystérieux semble contaminer ces jeunes-filles alors que des oiseaux rouges appelés "Coeurs palpitants" envahissent peu à peu la campagne environnante. Quand Samuel décide de faire appel au Dr Hawkins, Caroline se rebelle contre ces hommes qui veulent dicter leurs règles. Parviendra-t-elle à défier l'ordre patriarcal pour sauver ses jeunes protégées ?

Ce roman est composé de vingt chapitres assez courts, ce qui donne du rythme et cela permet d'avancer rapidement dans le récit. L'atmosphère est assez inquiétante dès le début avec l'apparition de ces oiseaux rouges de mauvaise augure. Ce huis-clos devient de plus en plus oppressant au fil des pages, créant un sentiment de malaise croissant, comme si ces jeunes filles restaient prisonnières de leur corps de femme.

L'intrigue est prenante et s'apparente un peu à une fable grâce à la symbolique qui se cache derrière ces oiseaux rouges menaçants. le portrait psychologique détaillé du personnage complexe, plutôt énigmatique, d'Eliza est très réussi. J'ai trouvé Caroline trop passive et rêveuse au départ, mais elle finit par s'affirmer à la fin en s'éloignant de l'autorité paternelle.

Ce que j'ai le plus aimé, c'est la prose poétique de l'autrice qui rend la lecture très agréable. Grâce à une plume sensible et délicate, l'autrice dénonce les abus du système patriarcal avec beaucoup de finesse. Un premier roman que je recommande à celles et ceux qui aiment le style d'Octavia Butler ou de Margaret Atwood !

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En lisant « L'école aux oiseaux », j'ai pensé au film d'Hitchcock « Les oiseaux ». Parallèle facile en raison du nom me direz-vous… mais non, il y a plus que cela.

Une sorte de mal être qui s'installe quand des oiseaux rouges, dénommés « coeurs palpitants » s'installent et envahissent l'espace, ont des comportements bizarres, construisent des énormes nids et auraient dû migrer et quitter ces lieux il y a longtemps.

Une école de filles, révolutionnaire selon son créateur, est ouverte dans ces lieux pour former les jeunes femmes à penser par elles-mêmes. Quelques-unes seulement au début, qui seront formées à cette nouvelle méthode. Et puis, un mal progressif s'installe, se propageant petit à petit à ces filles…. Un mal qui se dénote par sa couleur rouge… comme les oiseaux.
Un médecin est appelé, qui utilisera des méthodes peu orthodoxes pour soigner ces jeunes filles.

Tout l'intérêt de ce roman réside à mon sens dans l'ambiance mise en place par l'autrice. Un sentiment de mal être, que quelque chose ne tourne pas rond, sans savoir si c'est le lieu, l'histoire de la famille, la personnalité des filles-élèves ou les oiseaux qui nous dérangent.

Un roman dont on ne sort pas indemne !
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Samuel Hood, aidé de sa fille et d'un de ses disciples décide d'ouvrir une école révolutionnaire au sein de la Nouvelle Angleterre du XIXème siècle. Une école destinée à « modeler » les filles en femmes instruites et capables de réfléchir par elles-mêmes.

La 4ème de couverture laissait penser à un livre dans la veine de ceux de Margareth Atwood mais tel n'a pas été mon ressenti.

Le concept de départ d'un homme décidant d'éduquer des femmes à l'indépendance est déjà dérangeant mais pourrait être le postulat de départ d'un bon livre de science-fiction. Cependant, la suite du roman n'a ni queue ni tête. On y apprend que Samuel a déjà crée une sorte de secte de penseurs précédemment mais que cette tentative à été un échec sans que nous comprenions pourquoi.

Les huit filles de l'école se retrouvent progressivement atteintes de symptômes physiques étranges que personne ne peut expliquer. le patriarcat revient alors en force pour dompter les symptômes et les jeunes filles se retrouvent aux prises avec un médecin abusant d'elles. Même la fille de Samuel se voit contrainte de céder au chantage de ce dernier.

Le sens du roman reste obscur et abscons même une fois terminé.

A part la violence de la misogynie mise en oeuvre sous des concepts prétendument révolutionnaires, on ne saisit pas bien ce qu'à voulu exprimer l'autrice.

Lien : https://journaldeborddunelec..
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Samuel, écrivain veuf, vit avec sa fille d'une petite trentaine d'années, Caroline. Avec l'aide d'un disciple, David, ils vont créer une école de filles, moins d'une dizaine pour commencer, afin de montrer à la société du XIXe siècle que les femmes ne sont pas moins capables d'être instruites et de penser par elles-mêmes que les hommes, que leur rôle ne se résume pas a coudre, repriser, procréer et élever les enfants.
L'idée est précurseuse, innovante et fonctionne très bien jusqu'au moment où une étrange maladie contagieuse fait son apparition parmi les femmes vierges de la maisonnée. Quel genre d'épidémie est-ce ? Maladie physique ? de l'âme ? Quel est le rôle de ces drôles d'oiseaux rouges inconnus qui arrivent dans les environs ? Et que vient faire Eliza, jeune élève à la recherche de vérités sur son passé en lien avec Samuel ?
Beaucoup de questions vont se poser tout au long de ce livre, étouffant, écoeurant par moment tant l'histoire est prenante. Il est profond, violent au moment de la tentative de guérison des contaminées, et fait réfléchir non seulement les jeunes élèves mais également le lecteur. Tous les personnages ont une part d'ombre, cachent des choses ou n'en assument pas d'autres, c'est une sorte de huis-clos qui mériterait d'être mis à l'écran.
Ce premier roman, très travaillé, est une belle decouverte.
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Le commentaire de Lynda :
C'est un roman très étrange que cette lecture. de plus, ce sera difficile d'en parler sans révéler trop de choses.
Samuel Hood décide d'ouvrir une école dans une vieille ferme isolée qui lui appartient.
Celui-ci est un philosophe et un visionnaire, avec l'aide d'un de ses disciples, David, il veut à tout prix tout mettre en place pour faire naître une génération de femmes instruites et qui peuvent par elles-mêmes, réfléchir et prendre leurs propres décisions.
Il ne faut pas oublier que nous sommes au 19e, donc une période où la femme n'avait pas grand-chose à dire, on ne l'écoutait pas et on ne lui permettait pas de parler non plus.
Ce n'est pas trop long que les inscriptions à l'école sont comblées. Et c'est la fille de Samuel Hood, qui enseignera la littérature aux adolescentes, même si elle ne croit vraiment pas à cette nouvelle forme d'éducation.
Mais voilà, qu'une première adolescente tombe malade, crise d'épilepsie, marques sur le corps, hystérie. Et tout ça en même temps que l'arrivée d'oiseaux rouges, oiseaux que l'on a jamais vus dans le coin.
Mais en fait, ce que Sameul Hood veut faire, c'est de modeler ces filles à une soumission presque totale en dictant les règles à suivre, mais elles seront également très malléables pour être abusées.
Caroline, qui est capable de penser sérieusement, devra affronter et défier son père et ses théories pour sauver les jeunes filles.
Je n'en dirai pas plus, un roman très différent de ce que l'on peut habituellement lire, et même si le tout se déroule au 19e siècle, on retrouve des similitudes très fortes avec le monde d'aujourd'hui. L'auteure commence très fort dès le début, par contre, j'ai trouvé que ça s'essoufflait un tout petit peu en avançant.
C'est quand même une lecture qui nous pousse à aller jusqu'au bout. Par intérêt ou par curiosité, je dirais un peu des deux.
En bref, une histoire intéressante, quelques rebondissements, des personnages que l'on aime ou que l'on déteste, il n'y a pas de milieu, une plume parfois un peu lourde, mais dans l'ensemble une lecture que je recommande.
Lien : https://lesmilleetunlivreslm..
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Présentation de l'éditeur :
« Personne ne l'a jamais entrepris, personne. Modeler des filles en femmes capables de devenir la meilleure version d'elles-mêmes. »
Une école de filles. Voilà ce que Samuel Hood, philosophe et essayiste visionnaire, souhaite créer dans sa ferme isolée. Avec l'aide de David, son disciple, il compte forger une nouvelle génération de femmes instruites et capables de réfléchir par elles-mêmes. Une idée révolutionnaire, dans la Nouvelle-Angleterre du XIXe siècle. Sa propre fille a de sérieux doutes. Son éducation non conventionnelle ne l'a-t-elle pas laissée en marge de la société ?
Caroline accepte pourtant d'enseigner la littérature aux huit adolescentes. Mais très vite, celles-ci commencent à manifester des symptômes étranges. Sans parler des mystérieux oiseaux rouges qui envahissent la campagne environnante… Alors que les hommes continuent de dicter leurs règles, Caroline devra défier tout ce qui a jusque-là régi sa vie et son corps pour se sauver et sauver ses jeunes protégées.

Si, comme moi, vous cherchez un roman hors des sentiers battus, êtes amatrice de récits du 19ème siècle à l'ambiance un peu mystérieuse, alors « L'école aux oiseaux » devrait vous plaire.
La naissance de cette nouvelle école des femmes se situe à l'ombre d'un récit antérieur, qui ne nous sera dévoilé que par allusions : celui de l'émergence puis du déclin, en seulement une paire d'années, d'une communauté atypique, « Birch Hill » au sein de laquelle Caroline a vécu et sa mère a trouvé la mort. D'elle et du groupe, il est question dans un roman polémique paru depuis. Son auteur, Miles Bells, maintenant mort et qui dans ses pages la présente à sa manière, faisait partie de cette petite collectivité. Eliza, sa fille, rejoint l'école sous l'oeil inquiet et suspicieux de Caroline.
La présence des oiseaux rouges, venus d'on ne sait où et dont le comportement parfois étrange l'inquiète, contribue à l'ambiance oppressante des lieux telle que Caroline la ressent.
Celle-ci voit par ailleurs arriver avec un intérêt particulier David, jeune homme disciple de son père devant enseigner à leurs côtés. Sur lui comme sur tout ce qui l'entoure, elle porte un regard perspicace et critique, chargé du poids des connaissances déjà acquises au fil de son existence atypique mais déjà enclin à s'en affranchir. Les incidents et la manière dont les élèves, progressivement sous l'emprise d'Eliza, y réagissent, vont la pousser dans ses retranchements.

« L'école aux oiseaux », roman original et prenant, suit avec bonheur la lente évolution d'une jeune femme contrainte par des circonstances devenues odieuses à conquérir une liberté que son éducation lui avait soi-disant offerte : une réussite !
Lien : https://surmesbrizees.wordpr..
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