Avant, elle détestait que je touche cette zone, mais je vois qu’elle a bien grandi. C’est une femme libérée de ses complexes et pleinement consciente de sa féminité que j’ai dans mes bras.
— Déçue ?
— Pas le moins du monde.
Sa réponse me déstabilise parce qu’elle pue la sincérité. J’aurais préféré qu’elle me mente. Qu’elle me fasse comprendre que oui. Pourtant, rien que de l’imaginer dans les bras d’un autre, la rage me tord les boyaux. Je veux la posséder. Je veux qu’elle dépende de moi autant que je suis accro à elle.
— Je vais t’embrasser, Crows. Arrête-moi.