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Critique de lenotebookdemina
Le titre donne la note: Il est juste que les forts soient frappés; vous vous apprêtez à lire un drame violent et croyez-moi, vous n'êtes pas prêts!
En ouvrant ce livre, je me suis retrouvée le coeur au bord des larmes et les larmes au bord des yeux.
Cette histoire a pour thème la maladie et la mort mais paradoxalement, ce qui en ressort, c'est la FUREUR DE VIVRE.
Ode à la vie. Je referme ce bouquin à 2h du matin avec l'envie folle de réveiller cet homme qui dort a côté de moi et nos deux filles qui se reposent paisiblement dans leurs lits, encore insouciantes de cette chose que nous leur avons offerte en leur donnant la vie, un ticket pour la mort aussi. Je veux leur dire combien je les aime, j'ai envie de les emmener profiter de la vie, maintenant, tout de suite, tant qu'il est encore temps. Plus tard sera peut-être trop tard.
Ici pas de spoil. Dès les premières pages, Sarah, la victime sur qui le cancer a choisi de jeter son dévolu, nous annonce qu'elle ne s'en sortira pas. Elle nous raconte cette histoire post-mortem et malgré tout, lorsque la fin du tunnel s'ouvre à elle, on pleure, à chaudes larmes. C'est le choc, comme si on ne s'y attendait pas.
Lecture le coeur serré. Je découvre la plume de Thibault Bérard, légère et lourde à la fois. Empreinte de vécu, sinon comment mettre des mots si « justes » à cette histoire? Pas de poésie, juste la vie, la vraie, juste la mort, l'inévitable.
Je vais laisser retomber mes émotions avant de m'attaquer à la suite « Les enfants véritables ».
Mon coeur a été frappé, il mettra du temps à s'en remettre.
En ouvrant ce livre, je me suis retrouvée le coeur au bord des larmes et les larmes au bord des yeux.
Cette histoire a pour thème la maladie et la mort mais paradoxalement, ce qui en ressort, c'est la FUREUR DE VIVRE.
Ode à la vie. Je referme ce bouquin à 2h du matin avec l'envie folle de réveiller cet homme qui dort a côté de moi et nos deux filles qui se reposent paisiblement dans leurs lits, encore insouciantes de cette chose que nous leur avons offerte en leur donnant la vie, un ticket pour la mort aussi. Je veux leur dire combien je les aime, j'ai envie de les emmener profiter de la vie, maintenant, tout de suite, tant qu'il est encore temps. Plus tard sera peut-être trop tard.
Ici pas de spoil. Dès les premières pages, Sarah, la victime sur qui le cancer a choisi de jeter son dévolu, nous annonce qu'elle ne s'en sortira pas. Elle nous raconte cette histoire post-mortem et malgré tout, lorsque la fin du tunnel s'ouvre à elle, on pleure, à chaudes larmes. C'est le choc, comme si on ne s'y attendait pas.
Lecture le coeur serré. Je découvre la plume de Thibault Bérard, légère et lourde à la fois. Empreinte de vécu, sinon comment mettre des mots si « justes » à cette histoire? Pas de poésie, juste la vie, la vraie, juste la mort, l'inévitable.
Je vais laisser retomber mes émotions avant de m'attaquer à la suite « Les enfants véritables ».
Mon coeur a été frappé, il mettra du temps à s'en remettre.
