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Critique de Nathv
Cela faisait une éternité que ce roman se perdait dans ma montagne à lire. L'idée était de lire la biographie de Frida Kahlo (qui se meurt également quelque part dans ma montagne) avant de lire le roman de Claire Berest mais, finalement, ceci est resté un voeu pieux!
Qu'est-ce qui m'a, alors, fait sortir ce livre plutôt qu'un autre? le fait que Claire Berest sort un nouveau roman en cette rentrée littéraire (Artifices) et que je suis impatiente d'aller à Nancy l'écouter parler ce nouveau livre.
« Rien n'est noir » relate le couple mythique que formait Frida Kahlo et Diego Rivera, ses hauts et ses bas, les moments tendres et les passes dramatiques que ce duo a connus.
Frida souffre enfant de poliomyélite, ce qui lui vaudra le surnom de Frida La Boiteuse.
Frida n'a pas de chance; à 18 ans, elle subit un grave accident de bus dont elle gardera de lourdes séquelles douloureuses.
Trois ans plus tard, elle abordera effrontément le grand Diego Rivera – l'homme de sa vie, son plus grand amour et/ou son plus grand chagrin selon les jours.
Claire Berest, sous le signe des couleurs, dresse, à coups de phrases courtes et incisives, un magnifique portrait de ces artistes tempétueux.
Une superbe réussite qui me donne envie de me replonger dans les photos de mon voyage au Mexique, datant de 1994, afin d'y retrouver les clichés des peintures murales de Diego, ainsi que ceux de la Casa Azul (et de son intérieur, véritable musée) de Frida.
Lien : https://letempslibredenath.w..
Qu'est-ce qui m'a, alors, fait sortir ce livre plutôt qu'un autre? le fait que Claire Berest sort un nouveau roman en cette rentrée littéraire (Artifices) et que je suis impatiente d'aller à Nancy l'écouter parler ce nouveau livre.
« Rien n'est noir » relate le couple mythique que formait Frida Kahlo et Diego Rivera, ses hauts et ses bas, les moments tendres et les passes dramatiques que ce duo a connus.
Frida souffre enfant de poliomyélite, ce qui lui vaudra le surnom de Frida La Boiteuse.
Frida n'a pas de chance; à 18 ans, elle subit un grave accident de bus dont elle gardera de lourdes séquelles douloureuses.
Trois ans plus tard, elle abordera effrontément le grand Diego Rivera – l'homme de sa vie, son plus grand amour et/ou son plus grand chagrin selon les jours.
Claire Berest, sous le signe des couleurs, dresse, à coups de phrases courtes et incisives, un magnifique portrait de ces artistes tempétueux.
Une superbe réussite qui me donne envie de me replonger dans les photos de mon voyage au Mexique, datant de 1994, afin d'y retrouver les clichés des peintures murales de Diego, ainsi que ceux de la Casa Azul (et de son intérieur, véritable musée) de Frida.
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