Une sorte de journal intime où n'auraient été sélectionnés que les épisodes douloureusement vécus de la vie. La guerre des quatre vérités est déclarée. Premier coupable : le père… On l'aura bien compris : " L'enfer, c'est les autres". Mais, écrasés par l'épaisseur de la couche de l'amertume et par la trop forte victimisation du personnage d'Anatole (
Jacques A. Bertrand ?), les effets d'humour recherchés perdent en efficacité.
Bref, un bilan mitigé en ce qui me concerne.
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