Les tyrans, on les aime plus que les autres : leur mort ferait un plus grand vide, et on espère toujours leur amélioration, une métamorphose, un miracle.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.