Le cri...effrayant, comme ce titre qui renvoie immédiatement à l'image du tableau de Munch.
Le cri... attirant, comme comme cette quatrième de couverture qui ne pouvait me laisser insensible.
Le cri... évident comme la soif des hommes de découvrir une vérité, LA vérité.
Le cri... efficace comme la plume acérée de
Nicolas Beuglet qui m'a sortie de ma zone de confort.
Le cri... révoltant comme cette colère qui gronde en moi en découvrant des faits abominables qu'on a infligés à des hommes durant la guerre froide.
Le cri... viscéral comme ce hurlement qui jaillit en moi quand on joue avec la vie d'un enfant.
Le cri... primal comme cette peur qui nous habite tous quand on sonde l'immensité de nos âmes.
Le cri... émouvant comme l'amour qui surprend deux êtres en souffrance au coeur de leurs émotions.
Le cri... urgent comme cette envie de connaître, au fil des chapitres, le dénouement de ce roman palpitant.
Le cri... frustrant comme cette déception qui jaillit devant trop d'incohérences à la fin de l'histoire.
Le cri... comme ce bon thriller qui ne me laissera pas de souvenirs impérissables mais qui a eu le mérite de me faire voyager dans le temps, dans des lieux méconnus et dans des sphères méta-physiques intéressantes.
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