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Critique de Vivrelivre


Ce deuxième tome suit la trame du premier et nous fait découvrir (toujours) par les yeux de Fernande Olivier, grande et brune beauté sculpturale qui orne cette couverture, les débuts de Pablo Ruiz Picasso.

Je me suis faite au trait et à ces couleurs qui, après m'avoir déplu, m'ont entraînée, et même immergée, dans ce foisonnant Paris artistique du XXe siècle naissant.

Peintres, poètes se rencontrent, s'encanaillent, se disputent, se conseillent, rivalisent aussi bien dans les cafés que dans les salons…

Et en cette année 1905, alors que le troisième Salon d'Automne ouvre ses portes au Grand Palais, et fait scandale avec le Bain Turc de Jean-Dominique Ingres, que Matisse et Signac se bagarrent, Fernande et Pablo se cherchent, se séparent, se retrouvent…
Lui se montre possessif et jaloux.

Elle, s'ennuie comme modèle.

Seule la peinture érotique de Pablo semble intéresser.

Fernande erre à nouveau, logeant ici ou là. Leurs deux univers se croisent sans cesse.

Pablo rencontre un poète érudit, solitaire, qui clame ses vers dans un café le soir venu, Guillaume Apollinaire.
Avec Max Jacob, ils forment un trio détonant.

Ils aident Pablo à faire revenir Fernande par des stratagèmes un peu douteux, mais efficaces!

Opium et roue qui tourne.

Deux mécènes américains, un frère et une soeur, les Stein, et l'inspiration revient.

Comme l'argent.

Un portrait se dessine.

Un nouveau départ, avec et chez les Stein d'abord, puis vers l'Espagne, à deux…
Lien : http://vivrelivre19.over-blo..
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