Bienvenue au motel des Pins perdus

Alors là, quelle déception ! Voilà ce que c'est d'être attirée par une pub sans consulter mes amis babéliotes , ha !
Tout est dit !
J'avais tellement aimé "la bibliothèque des coeurs cabossés" que je m'y suis fiée et voilà, bim, la trahison.
En plus c'est un gros livre alors on se dit que ça va démarrer.
D'habitude, j'arrête au bout de 100 pages mais là j'en ai bien lu 200 avant de lire en diagonale pour enfin arrêter.
Quand prendre son livre fait soupirer c'est vraiment mauvais signe.
Henny meure au début, ok. Son fantôme rôde et rôde autour de ses amis mais il ne se passe rien. Pourquoi en faire un pavé ?
Ce bavardage est fatigant et lassant.
Bref, à éviter malgré la couverture bien sympathique.

Un roman bien décevant ! Pas d'action, une femme "fantôme" qui n'est ni drôle, ni farfelue et ni émouvante comme annoncé sur la 4ème de couverture. Un livre que j'ai bien eu du mal à lire jusqu'à la fin.

Je préfère les fantômes de "Chair de Poule" ou "Edgar le petit fantôme" lol !

J'avais adoré ses précédents romans mais je n'ai pas du tout accroché à celui-ci.
Impossible de rentrer dans l'histoire et d'y trouver un intérêt. Je n'ai même pas réussi à le terminer.

Une bonne idée de départ mais que c'est long, long et ennuyeux.
Trop de mots, trop de phrases inutiles. J'ai trouvé l'ensemble très très plat. Difficile de s'attacher aux personnages.
Quand je n'ai pas envie de connaître la suite c'est que, pour moi, l'histoire et le roman sont décevants.
J'avais adoré "La Bibliothèque des coeurs cabossés".
Je n'ai pas lu "Le jour où Anita envoya tout balader" et j'avoue que je ne sais plus si j'ai envie de me lancer dans cette lecture.

C'est l'histoire d'Henny, fantôme de son état depuis qu'elle s'est fait renverser par un camion, dès le début du roman.
Waouh! vous vous dites, ça commence mal, et puis vous suivez avec attention les efforts que fait Henny pour intervenir dans la vie de ses proches et les rassembler. C'est un roman plutôt sympa quoique un peu long.

Henny gère le Motel des pins perdus avec son amie MacKenzie. Michael son amour de jeunesse est de retour. C'est en sortant de son chalet qu'elle rencontre de trop près un camion et... la mort. Si son corps est complètement ratatiné, son esprit est toujours là. Elle décide de rester sur terre un peu plus longtemps et se donne pour objectif de rendre ses proches heureux.
Bon... je ne sais pas quoi dire sur ce bouquin. Il ne s'y passe pas grand chose malgré ses 700 pages.

Sympa mais trop long à mon goût. J'ai perdu l'envie de le lire au bout de 300 pages. Il en restait 400.
Je pense que je ne suis pas vraiment rentré dans ce livre et que je n'ai eu l'intérêt nécessaire pour apprécier la lecture jusqu'au bout. Je l'ai fini en diagonale.

J'avais été séduit par "La bibliothèque des coeurs cabossés" et suis fort déçu de celui-ci. L'auteure a trouvé un filon et l'exploite avec quelqu'imagination. Mais j'y ai trop retrouvé le précédent et ce que sont devenus les trucs et tics de l'auteure : beaucoup de bons sentiments (à la limite du sucré), une intrigue dont on devine la suite avant de tourner les pages, un style sans intérêt, une fin à l'eau de rose... J'ai poursuivi la lecture (parce qu'il s'agissait d'un cadeau) mais suis déçu de l'avoir menée jusqu'au bout.

"Bienvenue au motel des pins perdus" de Katarina Bivald est un roman spécial puisque la narratrice Henny, meurt dès les premières pages et toute l'histoire va tourner autour d'elle qui regarde ses amis, son père et les habitants de sa ville poursuivre leur vie. Elle revient aussi sur sa jeunesse et sur les liens qui la lient aux autres personnages.
Ce livre est beaucoup trop dense, 565 pages qui se trainent en longueur, beaucoup trop de thèmes abordés et même si les personnages principaux sont tous atypiques et sympathiques, ça n'a pas suffit à m'intéresser.
J'ai hésité à arrêté ma lecture, mais je me suis cramponnée en sautant quelques passages mais ce livre n'a pas réussi à me happer, dommage......

Merci quand même aux éditions Denoël pour leur confiance et l'envoi de ce roman.

L'héroïne de ce roman, Henny, meurt dès le premier chapitre et toute l'histoire tourne autour d'elle qui regarde les habitants de sa ville, ses amis et sa familles poursuivre leur vie et gérer leur deuil.

Je suis triste en écrivant cette chronique car j'apprécie énormément la plume de Katarina Bivald. Elle est l'auteure de l'un de mes livres préférés: La bibliothèques des coeurs cabossés, un coup de coeur et du titre le jour où Anita envoya tout balader que j'avais beaucoup aimé. J'ai donc commencé la lecture de Bienvenue au motel des pins perdus confiante mais hélas, je n'ai pas été séduite par ce texte.

Dès le début du roman le fait qu'Henny soit morte m'a déconcertée. Non pas que ça me dérange d'avoir un fantôme en héros mais un fantôme qui ne peut pas interagir avec son environnement oui. Henny est un personnage attachant que l'on apprend à connaitre à travers ce que son entourage dit d'elle ou encore grâce à ses flashs-back. J'ai juste eu du mal avec le concept d'un personnage principal passif qui regarde les choses se faire ou évoluer autour de lui.

Le concept en soi est original: lire toute une histoire du point de vue d'un personnage mort mais c'est le genre d'élément qui peut soit nous enthousiasmer soit freiner notre lecture. de plus, Henny a beau être attachante, mais que ça soit durant sa vie ou dans sa mort, elle n'a pas une forte personnalité, elle est plutôt le genre de personne à subir au lieu de réagir et je pense que l'histoire que l'on suit est un peu dans cette perspective.

Toutes ces histoires que l'on suivait en plus, celles des proches de Henny, l'auteure les utilise pour aborder des thématiques variées mais je me demandais à chaque chapitre où tout cela allait nous mener. le motel est le point autour duquel gravitent des personnages aux profils très diversifiés et je me demande s'il n'aurait pas fallu que la mort de Henny ne reste que le point de départ de l'histoire car je n'ai pas vraiment vu d'intérêt à ce qu'elle soit la narratrice.

Bienvenue au motel des pins perdus est un roman avec un concept original mais qui n'a pas su me séduire. Une héroïne certes attachante mais qui finalement n'apporte pas grande chose au récit qui était étrange à lire. Katarina Bivald demeure néamoins une auteure que je suivrai avec intérêt et j'ai hâte de lire son prochain roman.
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