La Société des Jeunes Pianistes

Voilà un roman qui m'a laissé quelque peu sur ma faim. le roman débute par un drame familial qui, on le comprends de suite va être le fardeau d'Askel. Très vite, en égrainant les courts chapitres, on a le sentiment de se plonger dans une lecture monocorde avec beaucoup de redondances et de questions sans réponses.
Finalement à la fin du livre (car j'ai absolument voulu aller au bout de ce livre), j'ai eu le sentiment d'en connaître beaucoup plus sur l'aulnaie et les lignes du tramway d'Oslo que ...
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Un avis mitigé pour ce livre.

Je l'ai trouvé trop long probablement (et je ne parle pas du fait que ce soir un pavé de 400 pages... Non c'est l'histoire qui s'étire a l'infini.)

Il y a quelques trés jolis passages, mais je ne me suis ni attaché au héro, ni a sa belle (surtout pas a sa belle que j'ai trouvé trés antipathique)
Le seul personnage qui a eu grace a mes yeux c'est celui de Catherine, la soeur d'Aksel.
L'histoire en elle-même m'a plutôt interessé. Assez sombre. Nous fait entré dans un univers pas toujours trés sain. J'ai beaucoup aimé le rapport a la musique.

Ma grosse deception : le dernier chapitre. une appendice grossiere qui détruit la belle fin qui aurait pu être offerte au lecteur.
Dommage.

Qu'ils m'ont ennuyée ces adolescents, pianistes de talent. Leurs rapports à la musique et leurs motivations (et doutes) à faire leur entrée dans le monde des solistes sont bien décrits et m'ont fait vibrer, par contre tout l'à-côté m' a copieusement barbée à force d'être répété et ressassé (mais après tout, les musiciens sont les champions des répétitions !).

Enthousiaste à l'idée d'entamer le roman d'un auteur norvégien qui ne soit pas un polar, et qui portait sur la vie d'un musicien, j'ai bien déchanté!
Pourtant bien écrit (du moins ce qui ressort de la traduction), je n'ai pas terminé car je me suis beaucoup ennuyée.