Ma première réflexion, en finissant ce livre, c'est que
Olivier Bleys a le don de se renouveler. Chaque roman qu'il écrit ne ressemble pas aux autres. Ici, le rôle principal est donné au café et à celui qui le fait. le vieil homme va mourir (ou pas ?!) et veut transmettre à ses quatre enfants le ‘trésor' de la torréfaction. Ce qui n'est pas, pour certain, la priorité mais l'héritage. Sa dernière volonté est qu'ils les accompagnent dans une épopée rocambolesque qui se déroule dans les années 50 de l'Italie au Costa Rica. Je laisse découvrir à ce qui ne l'ont pas lu ce qu'ils véhiculent... Déjanté à la façon de
Arto PaasilinnaCommenter  J’apprécie         390