Pour comprendre le monde, il faut, comme suggérait GRAMSCI, lier le pessimisme de la lucidité à l'optimisme de la volonté.
Pour conclure sous forme de boutade, on pourrait écrire que la communauté internationale est comme le monstre du Loch Ness. Tout le monde en a entendu parler, mais personne ne l'a jamais vu.
Ce n'est pas la planète qui est à sauver. Elle survivra à l'humanité. C'est l'avenir de cette dernière qui est en jeu, c'est elle qui peut disparaitre.