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Critique de alberthenri
Frédéric Boutet (1874-1941) me semble un parfait exemple d'auteur oublié, voire inconnu...
Et pourtant ! Son oeuvre écrite est importante, plus de 2000 contes et articles, des romans, des scénarii pour le cinéma, il fréquente de nombreux auteurs passés, eux, à la postérité ; Apollinaire, Courteline, Wilde, dont il suis le cercueil à Bagneux...
Il est vraisemblable qu'il fut en outre le "nègre" occasionnel de Maurice Leblanc, et que deux ou trois romans de cet auteur soit en fait de la main de Boutet !
Mais ainsi en va-t-il des mystères de la notoriété.
Peut-être parce que n'étant pas classable dans une école ou un courant littéraire précis, Frédéric Boutet, tomba dans l'oubli.
En France du moins, car certains de ces textes traduits en allemand dès leur parution par H.H Ewers figurent depuis longtemps dans des anthologies publiées outre-Rhin !
Le présent recueil, date de 1908, et compte dix huit contes.
Les textes, sont d'inspiration insolite, parfois macabres, absurdes, ou relevant d'une forme d'humour nonsensique.
Dans ces textes, se retrouvent les influences de Poe, Lorrain, Wilde ou encore Jarry.
On peut remercier les éditions Terre de brumes, d'avoir, le temps d'un recueil donnait au lectorat actuel une chance de découvrir un auteur talentueux, injustement oublié.
Et pourtant ! Son oeuvre écrite est importante, plus de 2000 contes et articles, des romans, des scénarii pour le cinéma, il fréquente de nombreux auteurs passés, eux, à la postérité ; Apollinaire, Courteline, Wilde, dont il suis le cercueil à Bagneux...
Il est vraisemblable qu'il fut en outre le "nègre" occasionnel de Maurice Leblanc, et que deux ou trois romans de cet auteur soit en fait de la main de Boutet !
Mais ainsi en va-t-il des mystères de la notoriété.
Peut-être parce que n'étant pas classable dans une école ou un courant littéraire précis, Frédéric Boutet, tomba dans l'oubli.
En France du moins, car certains de ces textes traduits en allemand dès leur parution par H.H Ewers figurent depuis longtemps dans des anthologies publiées outre-Rhin !
Le présent recueil, date de 1908, et compte dix huit contes.
Les textes, sont d'inspiration insolite, parfois macabres, absurdes, ou relevant d'une forme d'humour nonsensique.
Dans ces textes, se retrouvent les influences de Poe, Lorrain, Wilde ou encore Jarry.
On peut remercier les éditions Terre de brumes, d'avoir, le temps d'un recueil donnait au lectorat actuel une chance de découvrir un auteur talentueux, injustement oublié.
